1. Gulliver et Lilli Pute


    Datte: 03/08/2021, Catégories: hh, hagé, voiture, hdomine, hsodo, ecriv_t,

    ... main droite autour de la base, mais après un quart d’heure, mon hidalgo endurant n’a rien lâché, et c’est avec une certaine inquiétude que je le vois me dénuder maintenant presque complètement, pull, string, mais il me laisse mon soutif qui lui donne l’impression de seins, qu’il peut pétrir, avec assez de virilité. Me voilà poussée vers l’arrière et mise à quatre pattes, le cul en l’air, mon hidalgo derrière. Quelle langue j’ai maintenant dans le cul !!; il entre en force, et elle est longue, puissante, un vrai petit sexe, qui me fouille, me viole, et déclenche en moi la sensation que j’aime tant d’être possédée. Oui mais les bonnes choses ont une fin : et c’est « une autre paire de manche » qui se présente à l’entrée de mon anus si souple, je vous l’ai déjà dit, et moi qui aime tant me faire enculer, j’ai un peu peur… Et çà y est, çà rentre, à sec, ou plus exactement sans gel et sans autre préparation que sa magnifique feuille de rose. Je n’aurais pas cru, mais j’ai tellement mouillé du cul qu’il a entré son énorme bite, du moins les 5 premiers centimètres. Et oui, il rentre, il rentre, mais 5 centimètres de plus, et j’ai le cul qui explose, je me fends en deux autour de sa bite, je lui crie non !!, mais il rentre encore un gros bout de plus, et j’ai beau pousser mon anus comme pour faire (vous voyez quoi), je suis écartelée, une extraordinaire chaleur me monte dans tout le corps, j’ai le visage brûlant, je remue comme je peux, mais cela lui permet d’entrer d’un coup ...
    ... jusqu’au fond de moi, et je m’écroule morte de douleur sans pouvoir dire un mot de plus. Il ne bouge plus en moi, il est couché de ses 120 kilos de tout son long, son sexe complètement enfoncé, ses couilles contre mes fesses. Il me tord la tête vers lui et m’embrasse brutalement sur la bouche, sa langue tourne dans ma bouche, ses dents choquent les miennes, sa salive entre en moi aussi, décidemment il n’y a aucun endroit de moi ou il ne soit pas enfoncé. Voilà bien 5 minutes qu’on ne bouge plus, ni lui ni moi, et que ma douleur est régulière, sans être aigue comme quelques minutes plus tôt, et il le sait : il recule et s’enfonce à nouveau, la douleur renait, mais moins violente, et il me lime le cul à petits coups, et cela dure un quart d’heure. Mon anus si souple (hein) se met à lui donner les moyens de son plaisir : je mouille tellement du cul maintenant qu’il peut aller et venir à son gré, et que peu à peu s’installe en moi un mélange de haine et d’amour, une sensation de mal doublé d’un plaisir naissant, puis doucement, malgré la douleur, une onde de violence dans ma colonne vertébrale se précise, et Gulliver me bourre maintenant le cul comme un ours, et les 120 kilos m’écrasent sur les plaids. Je suis perforée jusqu’aux épaules qu’il tient enserrées en s’accrochant à moi, et il m’encule, m’encule, et me défonce, défonce, et je crie, je crie, mais je crie encore, "défonce moi, oui, oui, oui" et ma colonne vertébrale durcit, durcit, et d’un coup long, long je me tends, me tends, ...
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