1. Gulliver et Lilli Pute


    Datte: 03/08/2021, Catégories: hh, hagé, voiture, hdomine, hsodo, ecriv_t,

    Je suis devant mon miroir de la chambre du fond : c’est le plus grand de l’appartement. L’image qu’il me renvoie est celle d’une femme brune, plutôt mince, un peu raide, mais pas désagréable, et le garçon que je suis s’interroge : est-ce que je draguerais cette fille là ? Elle n’a visiblement plus 20 ans, et le look est celui de ces femmes de 50 d’aujourd’hui qui ne peuvent cacher les rides ou ridules sur leur visage, mais dont le maquillage permet de garder un charme et une sensualité qui les rendent désirables. Mon corps entièrement épilé, démuni de la belle poitrine dont sont dotées les « travelos » professionnelles, laisse apparaître pourtant une poitrine : mes petits seins d’homme, bien soutenus par un soutien-gorge seins nus, pointent sous mon léger pull un brin décolleté, noir avec un rang de brillance autour du tracé, et je vois une auréole brune et fine faire surface quand je tire le pull vers le bas. Sous ma jupe, noire également, et droite, un peu au-dessus du genou, j’ai enfilé un mignon string, noir aussi, de fille, et mon sexe au repos, mes couilles de petite taille, restent calmes, sans être invisibles. En cas de bandaison, bien sur, la jupe risque de marquer une bosse, mais cela reste discret. Sous cette jupe sage, mes jambes nues, épilées, je l’ai déjà dit, blanches, mais de ce mat qui donne comme un air de bronzage, fines et si féminines ? Et c’est en regardant l’ensemble, 1,68 m, 55 kilogs, que je ressens comme toujours dans ce cas, ce profond désir ...
    ... d’être femme qui m’étreint régulièrement, et me rend envieuse de mes consœurs réellement pourvues entre leur cuisses de cette chose magnifique qu’est une chatte, chose que j’aime tant lécher, surtout quand elles sont comme mon sexe à moi, totalement nues, finement dessinées sous la culotte, ou nues sous la robe. Il serait malhonnête de cacher que les sexes des garçons me plaisent infiniment : le plaisir que je prends à enrouler ma langue autour d’un mat de chair bien dressé, ou celui que j’ai à donner sa vigueur virile à un sexe paresseux ou fatigué est pour moi réel, mais ce n’est pas le même : Quand ma langue vient suçoter un clitoris féminin, lentement, longuement, avec comme un respect du petit sanctuaire en dessous, à qui ensuite je fourre langue, doigts ou objets sexuels, je suis une femme, une lesbienne, qui donne du plaisir à une autre femme. Et quand, ce que j’apprécie beaucoup aussi, ma « sœur » me prend et pénètre mon sexe « bis », mon bel anus bien souple, capable d’accepter de si belles dimensions de sexes pénétrants, je suis toujours avec l’élue en situation de lesbienne. Sapho, alors, m’est révélée, et le chant d’amour, nos baisers, sont d’une délicatesse infinie. Quand mon corps vient s’acoquiner avec un autre corps, viril celui-là, parfois velu, alors c’est une autre situation : mon désir devient plus animal, ma demande plus soumise, j’aime alors donner au sexe de mon homme ce qu’il sait venir d’un autre homme, un plaisir plus violent, plus brutal même. C’est là ...
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