Gulliver et Lilli Pute - Histoires de Sexe

Gulliver et Lilli Pute

... repars après avoir bu un thé citron, en souriant au garçon qui a bien compris ce que j’étais. Je marche dans une petite rue, un peu étroite, en me tortillant un peu les fesses, car les talons ne sont pas les outils de la marche naturelle. Je sui au ras du trottoir, alors qu’une voiture, un gros 4X4 s’enfonce entre les voitures en stationnement, à petite vitesse, et je regarde en arrière pour ne pas passer sous ses roues. Le conducteur, vitre ouverte, parait gigantesque, la cinquantaine athlétique, moustache fine et, me semble-t-il, un peu conquérante, et en ralentissant, m’adresse un grand sourire;" passez ma jolie, ce serait dommage de vous écraser comme çà" ! Et bien sur, je lui souris de mon petit air triste : « ce serait bien ma chance encore », lui dis-je. Mon bel interlocuteur , comprenant sans doute à demi mot le message : me dit alors : « vous m’avez l’air bien triste, et si je vous offrais un verre pour vous changer les idées ? Montez ! Et je suis montée, en lui disant dès mon arrivée sur le siège : « il y a des jours ou on ne sait plus qui on est, garçon ou fille. Mon joli moustachu, compléta le propos : « c’est vrai que parfois un garçon peut faire une très belle fille, n’est-ce pas; combien prends-tu ? » C’est un peu la panique qui me prends : je n’avais pas prévu çà, et je n’ose d’abord pas réagir, puis je bredouille : « comme les autres, 100 euros, ou 50 la pipe ». Cela semble convenir et mon cavalier accélère et m’emmène vers mon destin du jour : et me voilà ...

... bien ennuyée, avec ma moue de fille malheureuse, qui voulait se faire dire des mots d’amour. Et nous voilà roulant (à plus de 120 à l’heure) vers la campagne, et très vite nous arrivons dans un grand bois assez désert apparemment, et mon conducteur de garer son 4X4 dans un cul de sac très dense et même un peu sombre, de descendre, et par la porte arrière, d’abaisser les sièges pour créer un plancher comme pour faire un déménagement, avec deux gros plaids écossais disposés sur le fond plat de 2 mètres de long. Mon hidalgo me tend alors 100 euros, et m’enlève, debout dans le sentier-clairière, ma cape et ma jupe et me regarde en pull et en « jambes », mais il fait très frais, et il me fait rentrer dans le 4X4 siège avant, et dégrafe son pantalon. Cet homme fait près de 2 mètres de haut, et je sors son sexe encore un peu mou et découvre un morceau, dont une fois en érection je découvre la taille : 22 sur 5, un gland magnifique, une belle veine bleue qui court le long de la hampe, mais un tel gabarit ne facilite pas les choses. Je caresse la bête qui monte, qui monte, et j’ouvre ma bouche au maximum, pour avaler un début de cette belle chose. En quelques minutes, j’arrive mieux à en introduire plus de la moitié et je suce avec délectation le sexe de Gulliver, moi petite Lilli Pute, et j’arrive enfin à avaler jusqu’à « gorge profonde, mais il en reste un tiers dehors. Je lèche les magnifiques testicules, je salive sur la hampe et suce le gland, en tournant autour, je presse de ma ...