Photographe et tentatrice - Histoires de Sexe

Photographe et tentatrice

... mais aussi passe sa main plus bas, le creux des reins, puis les fesses. Je suis face à un miroir. Je la sens, mais aussi la vois se coller contre moi, sa tête contre ma tête. La garce sourit lorsqu’elle voit que je bande. Évidemment je ne refuse pas une main qui vient s’emparer de ma bite. Une main qui ne me lâche pas alors que la femme passe devant moi. Je suis vaincu, mais je n’avais pas envie de me battre de toute façon. Pour son âge elle est bien conservée et maintenant qu’elle se penche je vois ses seins sortir du chemisier qu’elle a ouvert discrètement. Elle s’agenouille et sa bouche s’empare de mon gland comme d’une friandise qu’elle rêvait de sucer depuis longtemps. Elle me suce. Elle fait tomber son chemisier. Le lit est juste là. Elle m’y pousse tout en se déshabillant. Elle aussi est nue. J’ai juste le temps d’entrevoir sa minette tout épilée avec un pubis bombé et des petites lèvres qui ondulent avant qu’elle replonge. Elle me fait le grand jeu. Ma bite et mes couilles ne sont bientôt plus qu’une rivière de salive. Elle se relève et vient sur moi. Pas un mot échangé. Juste un soupir alors qu’elle s’empale sur moi. Je glisse dans sa grotte. Elle se tient droite. Ses seins sont imposants, mais fermes. J’imagine qu’ils ne sont pas tout à fait « naturels », vu la façon dont ils se tiennent bien droits. Ils oscillent juste avec ses mouvements. Elle se baise sur moi. Elle attrape mes mains pour les placer sur sa poitrine. C’est bien agréable. Je joue avec ses tétons. ...

... — Oui, tords-les. Fais-moi mal. Un mal pour un bien. Je les fais rouler sous mes doigts. — Continue. Plus fort. Elle saute sur moi telle une furie ! Ses fesses claquent mes cuisses. Elle se caresse le clitoris. C’est bon. Elle crie. J’ai la pensée que son mari pourrait entendre. — Je viens. Je viens. Je la préviens. — Oui, inonde-moi. Oui ! Oui ! Je balance la sauce. Elle jouit aussi. Elle s’allonge sur moi m’écrasant de tout son poids. — C’était bon, hein. Et toi ?— Très bon. Mais tu n’as pas peur que ton mari s’inquiète ?— Non. Pourquoi ?— Tout de même !— Et quand bien même il serait monté ! Cela t’aurait dérangé ?— Moi je ne sais pas, mais lui sûrement.— Et si on inversait les rôles ! Imagine que c’est toi qui montes l’escalier et que tu découvres ta copine avec un autre.— Impossible.— Tu es si certain de sa fidélité ?— Euh ! Oui. Et non. C’est différent. On a un accord.— Un accord ?— Oui. On se permet quelques écarts. Mais pas comme tu le dis !— Jamais ensemble, alors. Quel dommage ! Vous ne savez pas ce que vous ratez !— Mais cela permet… Je caresse un sein… Je pousse une main vers sa chatte… Mais elle se relève. — Ce n’est pas que je n’ai pas envie, mais j’attends des invités… Demain si tu veux… Moi je suis partante… Viens dîner… Après la douche…— Volontiers, dis-je déjà émoustillé d’une autre rencontre.— Je laisserai la porte du jardin ouverte. Viens quand tu veux…— Je viendrai. ******************** — Fripon ! Tu étais déjà envoûté ! Et la suite ? Raconte ! Nadine est ...