1. Photographe et tentatrice


    Datte: 13/11/2017, Catégories: fhh, extraoffre, cocus, voisins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, couple+h,

    ... Oui… Encore. Oh que oui ! Encore… C’est ma première fois en représentation. Je n’ai jamais baisé devant une tierce personne. Le mari en plus ! Alors je m’applique. J’ai sur mes épaules le poids de la jeunesse qui doit assurer. — Viens. Viens chéri que je te suce. Après tu vas me prendre aussi. Tu aimes ça, me prendre dans le foutre dans un autre.— Oh oui. Salope. Tu vas voir comment je vais te tringler. Il s’approche. Il donne sa bite à sa femme qui la gobe. — Allez, Damien, fais-la jouir, cette pute. Elle aime ça avec un petit jeune. Les cuisses de Christine m’enveloppent. Ses talons sont des aiguillons pour me forcer. Mais je n’ai pas besoin de forcer mon talent. Je la possède avec force. Ses gémissements ne dépassent pas le fond de sa gorge, la bouche occupée largement par le gland-champignon de son mari. Je me décharge dans la chatte. Quelques coups encore pour bien brasser ma semence. Je me retire. — À toi ! dis-je au mari. Je suis désormais le complice du couple. — À quatre pattes ! Comme une pute… Attends… La queue disparaît comme dans un gouffre. La croupe est cambrée. La tête sur le drap. La chienne se caresse le clito. Elle n’en a jamais assez. Le ventre de l’homme claque sur les fesses. Le clapotis de mon foutre chatouille nos oreilles. C’est vicieux, pervers, cette façon de prendre sa femme après un autre, utilisant la liqueur du précédent comme un lubrifiant obscène, mais ô combien efficace. C’est à moi de regarder. C’est excitant et mes pensées vagabondent. ...
    ... ******************** — Oui, Chérie, à cet instant je dois confesser que j’ai eu comme une illusion. Ce n’est pas Christine que je voyais, mais toi. Manifestement c’était prémonitoire, car tu m’as avoué l’avoir fait. Je te voyais, levrette cochonne, cambrée comme pour mieux le sentir, gronder chaque fois qu’il s’enfonçait en toi, mandrin court, mais au combien large qui dilate ta chatte. Et moi voyeur content, appréciant le tableau, capable d’en saisir toutes les nuances, le plaisir donné, le plaisir reçu, oui moi la bite tendue pour une nouvelle saillie.— Je prends cette pensée comme un hommage, mon amour, m’absout Nadine qui est tout contre moi, attentive à mon récit et dont je sens la chaleur de sa peau. Je passe une main sur un sein. Elle me la retire. — Non, finis de me raconter. Les connaissant j’imagine que c’est loin d’être fini !— Manifestement tu ne m’as pas tout raconté, n’est-ce pas ? Je demande.— Il faut toujours garder une poire pour la soif. Allez. Continue…— D’accord. ******************** Christine découvre que je rebande déjà. Labourée comme une chienne sur le lit conjugal par son mari, elle ne quitte plus ma bite des yeux. Lui le remarque, car elle s’est redressée pour mieux me voir. — Je sais à quoi tu penses, lui dit-il alors qu’il cesse de la baiser. Elle sourit.— Oui, cela fait longtemps.— T’es vraiment qu’une pute. Ma queue ne te suffit pas, tu le veux aussi.— C’est si bon… Puis s’adressant à moi, Jean me dit : — Viens, on va se la faire en sandwich. ...
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