Photographe et tentatrice
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
cocus,
voisins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
jouet,
confession,
couple+h,
... tout ouïe ! Je sens que je l’ai émoustillée par mon récit. ******************** Le lendemain, vers les 18 h, après avoir bossé toute la journée comme un malade, l’esprit encombré par mon travail et ce que j’imagine comme récompense de fin de journée, je franchis la porte du jardin qui sépare nos deux propriétés. Quelques mètres et je découvre le couple en train de bronzer. À cette heure-là il fait moins chaud et le soleil redevient un complice après avoir été un pourvoyeur d’une chaleur étouffante. Je tousse pour signaler ma présence. Ils sont tous les deux plongés dans leur lecture, confortablement allongés sur des transats, dans la plus totale nudité. — Oh, Damien. Vous allez bien ? La journée n’a pas été trop dure ? Une douche avant de dîner ? J’acquiesce. Jean me salue. Sa nudité ne semble pas le déranger. Que sa femme se lève dans le même appareil, me salue et lui dise « Jean, j’accompagne Damien » ne semble pas le perturber. Dès le pas de la porte franchi, elle se colle à moi : — J’ai pensé à toi toute la journée. Et toi ?— Tu vas voir… La douche est vite expédiée. Je l’attire. Elle peut voir que je bande. Je la prends contre moi, lui fais sentir mon désir, mais j’ai envie de lui apporter un peu de plaisir avant de la posséder. Je la soulève, la pose sur le meuble et me plonge entre ses cuisses. Elle est chaude, lisse, humide. Ma bouche la découvre. Ma langue l’explore. Mes doigts s’insinuent dans sa fente et dans son petit trou qui me paraît une évidence. Elle gémit. ...
... Elle crie. Elle va ameuter toute la maison, mais c’est son problème ! Le mien c’est de lui amener la jouissance, la sentir couler afin de la posséder. Je me redresse et ma bite la transperce d’un coup de reins. Elle s’accroche à moi. Elle m’enveloppe. Nous ne faisons plus qu’un. Elle semble si légère que je la soulève et la déplace dans la salle de bain. Le mur me sert de support. Je la baise sans retenue. Elle apprécie. Son souffle est au rythme de mes avancées. Dans le miroir, je découvre son mari. Il nous regarde. Depuis combien de temps, je ne sais pas ? En tout cas sa présence ne m’étonne qu’à moitié. Dans la solitude de mon lit, cette nuit, j’ai repensé à ce que m’avait dit Christine et la traduction était évidente : il était candauliste, si ce n’est libertin ! Il nous regarde et son désir est évident. Il bande et comme tu l’as si bien dit ma chérie, une bite noyée dans une forêt de poils, et une bite dont le gland fait un étrange champignon. — Allons dans la chambre ce sera plus confortable, me dit la femelle plantée sur ma queue. J’obéis. Je la transporte telle une guenon accrochée à son mâle, passant devant le mari qui me cède le passage. Je la pose délicatement sur le lit et recommence à la bourrer. Jean a suivi, il s’est installé sur un siège. Le couple ne se quitte plus des yeux. — Tu as vu chéri, comme il me baise bien.— Oui, c’est beau.— Il me prend bien à fond… Ahhhh (Je propulse ma queue le plus loin possible)… Il est long… Dur…— Une bite de jeune !— Oh, oui… ...