Photographe et tentatrice
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
cocus,
voisins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
jouet,
confession,
couple+h,
... J’avance. Le couple bouge. Jean s’allonge. Sa femme vient sur lui en cavalière. Comme sur moi hier, elle s’empale. Il faut dire que mon traitement et celui de son mari lui ont bien ouvert la chatte. Deux-trois mouvements, pour qu’elle se place bien et elle se penche, s’allongeant sur son mari. — Allez, Damien, encule-la. Évidemment je me place. Pas question de refuser. Quel homme n’a pas rêvé ce genre de situation ! En plus Christine met ses mains sur ses fesses et dans un geste d’une obscénité totale, m’ouvre son petit trou. Le chemin est tout tracé. Tu me connais, toujours soucieux de ma partenaire, aussi je laisse tomber de la salive pour lubrifier. Je le fais avec toi, mais ici, le cul de cette femme entrouvert et gluant de ma salive semblait crier : « Prends-moi… Prends-moi ». Alors je l’ai fait. C’est plus facile à raconter qu’à faire. Le cul me laisse le passage, mais dès que le gland dilate le muscle, il se heurte à la bite de Jean. C’est une lutte amicale. Je dois prendre ma place en repoussant le propriétaire. Mon bâton glisse le long du sien. Bientôt je suis à fond. Mes couilles pendent en face de celles du mari. Drôle de spectacle que mes deux boules qui planent au-dessus de cette forêt de poils qui protègent les testicules du mari. — Putain, tu as raison, c’est vachement bon. En plus il est comme du bois. Tu dois le sentir passer hein, salope, dit Jean.— Oui… Oui… Il est dur, mais toi aussi. Ça t’excite hein, cochon, que ta femme se fasse tringler comme ça.— ...
... Vas-y Damien. Bourre-lui le cul à cette putain. Une demande facile à honorer. — Tu sais comme j’aime prendre par le petit trou. C’est plus étroit, la bite est comprimée. Eh bien, avec celle de Jean en plus, c’est dix fois plus fort. Rien à voir avec la fois où je t’ai prise comme cela alors que tu avais un gode dans la chatte. Je la bourre si fort qu’elle crie. Lorsque je m’arrête, inquiet d’avoir été trop brutal, Jean me relace avec un : — Continue. Ne t’arrête pas. Tu me branles avec ta bite. C’est bon. La putain aussi. Fais-la chanter. Je continue. Elle chante. Je ne vois pas son visage, mais celui de Jean montre du plaisir. C’est la première fois que je suis si près d’un homme. Une femelle nous sépare, mais nos queues se parlent et c’est bon. Je balance ma purée avec délice. Lui ne tarde pas. Sa pute semble épuisée. On se relève. Il nous faut un moment pour reprendre nos esprits. Le dîner est d’une sagesse étonnante. ******************** — Voilà, ma Chérie. Tu sais tout. Juste que chaque soir je les ai rejoints. Que nous avons varié les plaisirs en baisant dans toute la maison, y compris dans le jardin.— Eh bien, mon coquin… Que tu racontes bien… On s’y croirait… Je suis toute chose… Et toi aussi… (Elle me tâte la bite)… Tu crois que tu aurais assez de force…— Oh, que oui ! Et je la pousse pour m’allonger sur elle. Je glisse mes cuisses sous les siennes. Elle s’ouvre au mâle que je suis, force brutale, désir exacerbé, mandrin gonflé. J’entre en elle avec délice. C’est bon de ...