1. Photographe et tentatrice


    Datte: 13/11/2017, Catégories: fhh, extraoffre, cocus, voisins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, couple+h,

    ... toujours par le portillon du jardin et ne sonnais pas, et c’était à peu près à l’heure classique. C’est fou ce qu’en quelques jours on prend des habitudes. Donc ils étaient là, mais pas gentiment en train de lire ou de bavarder. Non, la vision était surréaliste. La première chose que je vois c’est Jean, à poil, agenouillé sur le canapé, le torse en appui sur le dossier. La seconde, c’est évidemment Christine. Elle est habillée, mais avec un pantalon ce qui déjà est extraordinaire, mais un pantalon dont pointe au niveau de la braguette une bite noire. Elle, derrière son mari, lui la croupe offerte, elle lui enfilant le mandrin artificiel. — Tiens mon chéri, prends ça… Et ça… Elle l’encule avec force. Mais elle me voit. — Ah, Damien, tu tombes bien. Figure-toi que Monsieur se plaint que je le néglige depuis que tu es avec nous. Il n’y en aurait que pour toi et je négligerais mon devoir conjugal. Je ne peux m’empêcher de sourire à l’expression "devoir conjugal". — Il adore que je l’encule. Le pauvre il est en manque… À cause de toi… Tu sais qu’il a ses habitudes dans le bois … Il y retrouve des pervers comme lui. Le pauvre ! Il y a des travaux, alors « tintin ». Et moi je le délaisse. Tiens, cochon. Le coup de reins déclenche un grondement de l’homme. — Approche Damien. Il va te sucer. Il adore ça. Il n’a pas osé. Hein pervers, que tu vas le sucer… Il va t’en mettre plein la bouche et si tu le pompes bien peut-être qu’il se finira dans ton cul… Je ne sais quoi faire. Jamais je ...
    ... n’ai vu cela. Jamais on ne m’a proposé qu’un homme… Que je… Quoi faire ? Que dire ? — C’est-à-dire que je ne me suis pas douché et que… Excuse bidon, mais vite balayée par Christine. — C’est encore mieux. Une bonne odeur de mâle. Une belle queue de jeune, ça va le changer de ses partenaires. Approche. Je le fais. J’avance vers le canapé. Tous deux me suivent du regard. À ce moment je comprends que c’est une mise en scène et que tous deux sont évidemment complices pour ce jeu. Alors, jouons… En face de Jean, de l’autre côté du canapé, je descends mon short et mon slip. Il regarde mon sexe qui se libère, tige au repos sur mes bourses. Il entrouvre la bouche. Je fais le dernier pas. D’une main je soulève ma bite pour lui tendre. Il aspire. Je me glisse en lui. Ses lèvres atteignent mes couilles. Je suis tout en lui, serpent souple qui se love au mieux. Mais sa langue me titille. Sans le vouloir, je me tends, je sens ma tige se gonfler, chercher de la place, repousser la gorge ou je bute. Je bande. Je bande pour un mec. Non je bande par un mec. Mais aussi par sa femme qui nous regarde et reprend ses mouvements. Elle ne le ménage pas. Le gode disparaît au plus profond. Elle grimace, mais ce ne doit pas être de douleur. Elle-même est prise par l’autre extrémité qui lui sert de base, et j’imagine que ses mouvements font aussi bouger ce qui la possède. Des mouvements qui propulsent l’homme vers moi, qui font que sa gorge avance à ma rencontre, que ses lèvres me frottent, que sa langue ...
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