Photographe et tentatrice - Histoires de Sexe

Photographe et tentatrice

... se retrouver chez soi alors que mes aveux m’ont éloigné par la pensée. — Chéri ! Par mon petit trou ! J’ai trop envie. Tu m’as mis l’eau à la bouche. Elle sourit de sa boutade. Je n’ai qu’à la relever un peu plus. Sa rondelle est juste là. Pour elle aussi, j’imagine qu’elle l’attendait, je fais tomber un peu de salive que mon gland étale en simulant la pénétration. — Prends-moi. Vite, prends-moi… Comme elle… J’entre. Son anneau m’étrangle délicieusement et se laisse forcer pour voir défiler mon gland puis ma hampe jusqu’à ce que mes couilles bloquent. Je l’encule. Je sens qu’elle me veut puissant, sans retenue, bestial, abusant d’elle sans vergogne. Je la bourre. Elle gémit. La chambre est maintenant dans la pénombre et si je distingue mal son visage, je vois qu’elle tourne la tête comme possédée. Elle glisse une main vers sa chatte et s’enfile des doigts pour se prendre elle-même. C’est plus facile pour moi. Ses doigts regroupés forment un mandrin informe qui la possède. Elle se caresse les seins. Elle gronde. Elle se tortille… — Oui… Oui… Continue… Je te sens bien dans mon cul… Si tu savais comme c’est bon… Elle semble partie. Des mots sans suite et puis je crois entendre « … tu devrais essayer… ». À nouveau, des gémissements et puis toujours marmonné « … lui adorait que… ». Je vais la questionner, mais son plaisir arrive et je veux l’accompagner. Je force l’allure, j’augmente l’amplitude. Nadine est une petite chose que je maltraite pour son plus grand plaisir. Enfin je ...

... me libère. Je l’inonde. J’ai l’impression de n’avoir cessé de jouir pendant toute la soirée, mélangeant dans un délicieux fouillis baises réelles et baises racontées. Je m’effondre à son côté. Nous sommes essoufflés. « Sport en chambre » est une vérité. — Tout à l’heure je crois que tu as parlé de Jean.— Ah !— Oui j’ai compris que lui aimait se faire sodomiser. Comment tu le sais ?— Christine a un gode-ceinture avec tout un jeu de godes de tailles et de couleurs différentes.— Ah et tu l’as vue faire ? Devant toi ?— Oui… Et moi aussi…— Comment toi aussi… Tu veux dire que tu as porté ce truc ? Tu t’en es servi avec…— Avec Jean. Oui.— Oh !— C’était particulier. Étrange ce sexe qui sortait de ma fente et se prolongeait et qui… finissait dans les fesses de l’homme…— Tu as aimé ?— Oh, Damien, c’était si différent. L’entendre gémir de plaisir alors que moi je l’enfilais. Que sa femme m’encourageait. Elle le masturbait ou se faisait prendre par lui… C’était pervers… Cochon… Mais si bon. Un long silence. Et puis elle reprend : — Manifestement ils pratiquent assez souvent. Pas avec toi ? Ils n’ont peut-être pas osé…— Si.— Pourquoi tu ne me l’as pas dit ?— Parce que… C’est dérangeant de te parler de cela. Toi-même tu avais « oublié » de m’en parler.— C’est vrai.— Tu vois. Elle se refait câline. — Damien Chéri, raconte-moi. S’il te plaît…— D’accord, mais après on dort. Tu m’as crevé, coquine. ******************** Un soir, je suis arrivé et je les ai retrouvés dans le salon. Je passais ...