1. Le miroir aux alouettes


    Datte: 04/08/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, vacances, amour, noculotte, intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, fsodo, init, amourpass,

    ... plumes. – Continue… suppliait-elle sans se contrôler. Vas-y, Maxime… continue je t’en prie… lèche-moi, oui… oui Maxime… lèche-moi… Il l’écoutait, obéissant à ses ordres qui n’en étaient pas vraiment. Sous son ventre, sa queue enflait à nouveau, il le sentait. – Tu aimes ? demanda-t-il sans se relever, la bouche directement collée à même sa fente humide. Elle lui répondit par un cri. Il la branla avec sa langue tant et si bien que quelques minutes après, elle transpirait, mouillait et criait dans une telle fureur qu’il sut qu’elle attendait plus, et même, s’y préparait avec envie. – Tu me désires, n’est-ce pas… ? souffla-t-il en se redressant à genoux. Dans le noir, il entendait la respiration haletante de la jeune fille. Elle ne répondit pas mais gémit comme un petit chien. Il se pencha au-dessus d’elle pour l’embrasser dans le cou, sur les seins, tout en plaquant la paume de sa main contre les poils doux de sa chatte ; il enfonça son majeur dans sa fente qui s’ouvrit avec bonheur sous la poussée. Sa bouche se colla à celle de Marie, qui écarta les cuisses, totalement hors d’elle. Elle suppliait à même sa bouche, des petits cris seulement qui semblaient émaner de son utérus tant ils étaient significatifs. Les doigts maladroits de Marie s’emparèrent de la trique gonflée, entre les jambes de Maxime, et la malaxèrent si fort qu’il cria ; non de douleur, mais de plaisir. Il la laissa faire quelques instants, la tête bourdonnante, mais craignant qu’elle ne recommence à le faire ...
    ... jouir comme tout à l’heure, il mit fin à cette douce masturbation cinq minutes après. Leurs souffles résonnaient dans la chambre obscure. – Viens… murmura faiblement Marie, son haleine chaude dans l’oreille de Maxime. Viens, je t’en prie… fais-moi l’amour Maxime… oh oui, c’est si bon, ton doigt… En effet, Maxime, toujours voûté au-dessus d’elle, n’enfonçait dans son corps que son majeur pour le moment. Mais il faut dire qu’il devait bien s’y prendre, car Marie ondulait sur le matelas, son corps nu tremblant et frémissant de plaisir. Il devina que cette fois, elle allait vraiment jouir, malgré son récent dépucelage. Il se sentit bizarre, à cette pensée. Ému, peut-être, d’avoir été le premier à butiner cette superbe fleur, le premier à lui apporter du plaisir… – Prends-moi… continuait Marie, égarée dans sa transe. Maxime !… Aah ! À ses cris, Maxime sortit de ses pensées, sentant qu’il devait arrêter là ses caresses s’il ne voulait pas que Marie ne jouisse avant l’heure. Il retira son doigt mouillé, et se coucha sur le corps tendre et impatient de la jeune femme. Il sentit à quel point elle était crispée lorsqu’il caressa ses seins durs et frémissants. Enfin, il s’exécuta, et positionna ses reins contre les hanches de Marie. Elle avait déjà les jambes écartées, mais fit mine d’ouvrir encore plus ses cuisses, comme s’il n’avait pas déjà compris à quel point elle avait envie de lui… Il lui donna un baiser profond et humide, tout en pesant de tout son poids sur elle. – Prends-moi… Oh ...