Le miroir aux alouettes - Histoires de Sexe

Le miroir aux alouettes

... intéressé par cette petite nièce qui te tourne autour… – Je n’ai pas de nièce, Angela, tu le sais bien… c’est celle de José. Elle haussa un sourcil, pas dupe, mais le laissa entrer. De toute façon, elle avait trop envie de lui. Maxime jeta un regard oblique autour de lui, s’assurant qu’ils étaient bien seuls. – Marc est toujours absent ? demanda-t-il d’un air faussement détaché. – Oui, répondit-elle simplement, le toisant de ses grands yeux noisette. Tout de suite, il posa son casque de motard sur le meuble du vestibule, et prit Angela dans ses bras, l’entraînant vers le salon. La discussion se termina donc ainsi, dans un long baiser humide. Angela était très brune, la peau mate, et offrait un contraste saisissant avec les mèches blondes de Maxime. Ce dernier la déshabilla lentement, commençant par le haut. Dans sa précipitation, elle n’avait sans doute pas eu le temps de mettre un soutien-gorge. Quand ses seins jaillirent de son tee-shirt moulant, Maxime en bava littéralement. – Tu as pris des formes, ma chère, apprécia Maxime d’une voix brûlante. Elle sourit. En même temps, il promenait ses doigts habiles sur la rondeur des seins, titillant leur pointe brune avec une adresse qui finit par la faire gémir. – Tu sais bien que non… murmura Angela. – Viens plus près, douce Angela… Hummm… comme tes seins sont doux… comme ils sont bons… Maxime en suça violemment les pointes qui se dressèrent dans sa bouche. La gorge déployée, le visage en arrière, Angela gémit encore, ses mains ...

... crispées dans les cheveux blonds de Maxime, penché au-dessus de sa poitrine. Il releva la tête et cueillit sa bouche, fourrant sa langue à l’intérieur avec une ardeur digne d’un cerf en rut. Ils s’embrassèrent ainsi un long moment. Les mains de Maxime épousèrent les seins ronds, les caressèrent, les prirent en coupe, puis descendirent dans le jean serré, franchissant la barrière de la ceinture avec une facilité déconcertante. Bientôt, les doigts de Max faisaient une bosse mouvante sous le jean de la jeune femme, qui haletait d’impatience. Il dut trouver la source de cette attente, car elle cria son nom, tandis que les doigts s’agitaient frénétiquement, en un seul endroit, cette fois… – Petite cochonne… murmura Max en déscotchant ses lèvres des siennes. T’as pas mis de culotte… Angela ouvrit un peu les jambes. Une tache humide fonçait le jean au niveau de l’entrecuisse, là où la main gauche de Max faisait des ravages, ondulant et roulant sous le tissu comme la bosse d’un chameau. – Oui… jeta Angela. Là… c’est bon, oui… Ooohh Maxx… Oui… Oui… Maxime eut un sourire ironique, et s’écarta d’elle pour lui ôter le pantalon-obstacle. Elle l’aida avec une grâce aérienne. Le jean fut balancé dans la pièce, tandis qu’Angela s’asseyait sur des coussins posés à même le sol, avec un chaud sourire pour encourager Max, qui n’avait pourtant pas besoin d’être encouragé… Il ôta ses vêtements avec une rapidité exemplaire. Le géant blond s’agenouilla ensuite devant les cuisses bronzées qu’Angela ...