Le miroir aux alouettes
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
amour,
noculotte,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
init,
amourpass,
... reproche. Maxime se baissa à nouveau entre ses jambes, et s’occupa du godemiché, toujours enfoncé en elle. Il le fit pénétrer dans un va-et-vient déconcertant. Le godemiché frottait contre son clitoris, et au bout d’un long moment, Marie commença à se tordre, ravagée par ces sensations intenses, se sentant au bord de l’orgasme. Alors, la main de Max ralentit le mouvement, se contentant de faire coulisser le godemiché avec douceur, prenant le temps de bien l’enfoncer, l’imprégnant de l’humidité de son antre, avant de le retirer. Marie transpirait, ses longues jambes ouvertes autour de Max, qui se tenait dans le noir, agenouillé, nu. Il retira le godemiché, revint sucer, longuement, sa chatte qui commençait à mouiller, puis il remit le bâton à l’intérieur de son vagin, le faisant glisser, cette fois, avec une frénésie qui porta bientôt Marie à l’extrême excitation qui précède la jouissance. Elle se tendit vers lui, frémissante. Mais encore une fois, Max ralentit le geste, avant de cesser tout à fait, laissant le godemiché planté dans la chatte de Marie comme un pieu enfoncé dans un cœur. Anéantie de plaisir, la jeune femme émit un son de protestation, frustrée. Cependant, elle le laissa la guider dans cette découverte du plaisir, seul initiateur dans cette quête éperdue de jouissance et d’amour. À tâtons, Maxime dirigea la main hésitante de la jeune fille vers sa queue, chaude et enflée. Marie la caressa de la main, la flattant, la branlant doucement, sentant sa texture ...
... flexible et mouvante sous sa paume. Son gland glissait, humide, entre ses doigts. Le cœur de Marie battait à cent à l’heure. Rompu de désir, l’homme remonta frénétiquement la chemise de nuit le long de son buste, puis la passa par-dessus la tête de la jeune femme. Ses seins, remués par tant d’ardeur, effleurèrent les tétons de Max, lorsqu’il s’étendit sur Marie. Il retira avec précaution le gode de la chatte suintante de Marie. À la place, elle sentit très vite la différence, il enfonça, lentement cette fois car l’engin était d’une taille plus impressionnante, sa bite durcie de désir contenu. Elle eut un cri étouffé, traversée d’un éclair de douleur, et s’immobilisa, afin de réduire la souffrance de la pénétration. – Tiens-toi tranquille… gronda Maxime, tendrement. Ne bouge pas, tu vas voir… ce sera meilleur. Il attrapa ses poignets et les tint vigoureusement, tandis que ses reins bougeaient, lentement, entre ses cuisses ouvertes. Serrant les dents, Marie s’attendait, catastrophée, à subir plutôt qu’à aimer, mais bientôt, elle s’habitua à la lente régularité de ses assauts, et commença même à se détendre. – Tu vois… chuchota-t-il. C’est mieux comme ça… laisse-moi faire… Marie ne pensait plus à rien. Elle se laissait envelopper par ce corps chaud, ferme, qui roulait sur le sien, la couvrant de sa transpiration. Une douce odeur de musc se détachait de son corps nu. Ses cuisses cognaient, musclées, contre ses fesses à demi soulevées. La douleur était déjà partie. Lentement, elle ...