1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1035)


    Datte: 04/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1034) - Mais en attendant, je vais t’attacher avec les chiens proposés pour la promenade... Soirée ‘cochonne grillée’ ? J’avais lu cochon grillé, je pensais donc à un repas un peu campagnard autour d’un cochon embroché au-dessus d’une fosse où brulerait un feu de joie ! Je me doutais que le terme « cochonne » n’avait certainement pas été utilisé au hasard par le filleul du Maître ! Et je n’arrivais pas à déterminer si cela pouvait être une bonne chose ou non. Je fus donc amené près d’autres soumis et soumises, tous nus et accessoirisés de la même manière que je l’avais été par cet Edouard. Nous étions juste à côté de l’entrée du parc, contre le mur à droite de la porte. Nous étions tous prosternés, nos laisses accrochées à une rambarde métallique. Le filleul du Maître nous prévint que l’établissement ouvrait et que nous devions répondre à toutes les exigences que n’importe quelle personne serait susceptible de nous donner, peu importe que celle-ci décide de nous sortir et de nous promener ou non… Les premiers clients arrivèrent. Un couple passa sans un regard pour nous, puis un homme d’un certain âge s’arrêta devant nous, et nous examina. Pour chacun d’entre nous, il observa notre bouche qui était maintenue ouverte, nos chattes pour les femelles, où il s’ingénia à y faire pénétrer sa main en un fist vaginal brutal, vérifiant ainsi notre excitation, pour tous il enleva nos queues de chien d’un ...
    ... geste brusque et y enfonça de suite quatre doigts pour tester l’élasticité de nos trous puis nous renfila nos queues factices. Sous ces gestes brusques et sans préparations, je fus la seule à ne pas laisser échapper le moindre gémissement ou cri de douleur. Il revint alors vers moi, qui m’était de nouveau prosternée et du bout de sa botte me fit relever la tête jusqu’à ce que je me retrouve à quatre pattes. Il me fixa un instant puis s’approcha tant face à moi que je fus obligée de reculer, me pressant comme je le pouvais contre le mur, tandis qu’il défaisait ma laisse. Sans un mot, il donna une impulsion à la laisse me faisant comprendre que je devais le suivre. L’homme respectable avait un côté pervers qui lui fit emprunter les chemins pierreux plutôt que ceux qui étaient herbeux. Très vite, je ressentis la douleur des entailles sur mes genoux et mes pieds. Pourtant mon éducation aux pieds du célèbre Monsieur le Marquis d’Evans fit que je serrai les dents, enfin c’était une façon de parler puisque j’avais toujours la bouche écartée, et pas une plainte ne sortit de ma gorge, et mon pas ne se ralentit pas une seconde. La promenade fut longue et malgré mon air impassible, se transformait pour moi en torture. Il faisait un temps magnifique, et le soleil commençait à chauffer sérieusement mon corps. Cela ajouté à la marche soutenue aux pieds de l’homme qui tenait ma laisse, une fine pellicule de sueur mélangée à la poussière me recouvrait. Quand enfin, il se décida de parler … - ...
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