La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1035)
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Allez, je vais être gentil avec toi petite chienne, dit-il avec un sourire carnassier. Tu as chaud, je vais te laisser te rafraichir dans le bassin que l’on aperçoit tout au bout là-bas, tu peux relever la tête pour l’apercevoir. Je regardais donc la direction qu’il m’indiquait. Il n’y avait pas la moindre parcelle de chemin qui fut ombragée, mais il ne semblait pas y avoir une trop grande distance, et l’idée de pouvoir patauger dans de l’eau qui devait encore être fraîche malgré le soleil me réjouissait au plus haut point. Le chemin me sembla long. J’avais l’impression que plus la distance diminuait, plus l’homme ralentissait le pas, et j’avais du mal à calquer mon rythme sur le sien et à ne pas le dépasser. Avoir la bouche ouverte et la langue « pendante », avec le soleil me donnait une soif incroyable et j’espérais réussir, malgré mon appareillage, à avaler quelques gorgées d’eau lorsque j’aurai enfin le droit de me rafraîchir dedans. Nous nous arrêtâmes enfin devant. Lui s’assit sur la margelle du bassin, jouant de sa main dans l’eau, s’en appliquant sur la nuque en répétant plusieurs fois qu’il faisait particulièrement chaud aujourd’hui et qu’un peu de fraîcheur faisait le plus grand bien. Un magnifique saule était planté tout prêt est donné de l’ombre sur une partie du bassin. Lui en profitait, mais il m’avait ordonné de m’arrêter juste la lisière et j’attendais donc prosternée en plein soleil, patientant son bon vouloir et l’autorisation d’entrer dans le bassin... Au ...
... bout d’une dizaine de minutes, il claqua des doigts et montra le sol devant son pied. Je me déplaçais donc jusqu’à lui. Il m’enleva ma laisse et m’autorisa à rentrer dans le bassin, mais toujours à quatre pattes. Je montais donc, plus ou moins en équilibre sur la margelle puis pénétrais dans l’eau. Mes yeux s’agrandirent de douleurs et j’eus toute la peine du monde à ne pas laisser sortir le moindre son ! En effet ce n’était pas un bassin d’eau douce, mais un bassin d’eau salée, et le sel sur les nombreuses petites plaies que m’avaient laissé les arrêtes tranchantes des pierres sur lesquelles nous avions évolué un certain temps était une torture sans égale qui provoqua la venue de nombreuses larmes silencieuses. Sur un ton moqueur, voir sarcastique, il me reprocha de ne pas montrer plus de joie. - Eh bien, que voilà une bien ingrate petite chienne ! Aucune joie, aucun remerciement envers moi qui te permet de te rafraîchir ! Je suis déçu… Quand j’ai vu ton tatouage marquant ton appartenance un si Grand Maître, qu’est Monsieur le Marquis d’Evans, je m’attendais à mieux ! Allons qu’attends-tu ? Je me déplaçais donc dans l’eau jusqu’à lui. Je ne pouvais pas me prosterner sans plonger la tête sous l’eau, je ne pouvais pas le remercier de vive voix ayant toujours l’écarteur en bouche. Je décidais donc de faire la belle, je laissais échapper plus couinements, que je voulais rendre proche de l’aboiement autant que c’était possible avec cet appareillage. Puis j’essayais d’imiter la ...