La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1035)
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chienne joyeuse et fofolle, en sautant dans l’eau, tout en restant à genoux ou à quatre pattes, ne faisant qu’aviver les douleurs. Et malgré cela, je réussis tout de même à ressentir de l’excitation, mon côté masochiste prenait le dessus. Dès que je rentrais vraiment dans la peau de la petite chienne en chaleur, que je ne cessais jamais réellement d’être, dès que je me conduisais réellement comme l’animal canin, je ne pouvais m’empêcher d’être excitée ! Je croyais aux vies antérieures et à la réincarnation. Je ne doutais pas qu’un jour, j’avais réellement vécu dans la peau de cette bête, toujours prête à s’abandonner à l’Homme qui voudrait bien s’occuper d’elle, si fidèle dans son comportement. Et il fallait bien avouer que si j’arrêtais de me concentrer sur la douleur, si j’arrivais à en faire l’abstraction, ce bain frais m’avait fait énormément de bien. - Bien j’aime mieux ça ! Maintenant sors de l’eau et suis moi ! J’appréhendais de retourner sur le chemin pierreux, mais j’eus la bonne surprise de le voir se diriger sur une petite partie « pelousée ». Là il s’assit sur l’herbe, et m’ordonna de m’allonger sur le dos. Il sortit de la poche intérieure de sa veste, et me passa un onguent sur toutes mes blessures, et la douleur s’estompa aussitôt. Je ne sais pas quelle crème il me passa mais elle était d’une incroyable efficacité. Après s’être occupé de me soigner, ses mains qui étaient au niveau de mes genoux remontèrent vers mes cuisses en douces caresses, une douceur dont ...
... je n’aurai pu soupçonner cet homme. Il vint se placer entre mes cuisses. Il me parsema des milliers de baisers sur chacune de mes jambes, des orteils jusqu’au haut de mes cuisses, puis sur mon pubis glabre. Puis toujours avec douceur, il passa délicatement sa langue entre mes lèvres intimes et y dénicha mon petit bouton de chair qui palpitait déjà. En quelques secondes, je me sentis déjà prête à basculer dans la jouissance. Alors il se recula, me retourna en me relevant le cul en levrette. Il ne prit même pas la peine de baisser son pantalon, il ouvrit seulement sa braguette et le bouton pour sortir son sexe déjà fort dressé et il s’enfonça d’un coup profondément dans ma chatte trempée... Et je subis une saillie vaginale comme à la bonne chienne que je suis. La verge raidie, au gland gonflé et violacé s'enfonça sauvagement et me ‘transperça’ de part en part. Les coups de reins étaient puissants, rapides et profonds. La pénétration fut mentalement jouissive pour moi à me sentir possédée ainsi, mais je me retenais à ne pas laisser éclater mon orgasme physiquement. Quand tout d’un coup, au bout d’un long moment, il ralentit le rythme de la baise pour continuer ainsi à me prendre mais avec une douceur inattendue. Son ample mouvement de va et vient lent, très lent, me fit monter encore plus en excitation et ma cyprine coula contre mes cuisses. J'aimai me faire baiser ainsi lentement, comme me faire aussi besogner, posséder rapidement ou tout simplement me faire prendre profondément ...