1. La professionnelle


    Datte: 05/08/2021, Catégories: fh, prost, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, vidéox, ffontaine, massage, Oral fsodo, jeu, champagne, aliments, attache, yeuxbandés, fouetfesse,

    ... picotements électriques des bulles de champagne à l’intérieur de son vagin eurent raison de la résistance de Mireille, dont le corps fut une nouvelle fois secoué par un orgasme bouillonnant. Éric colla sa bouche à la fontaine, avalant le liquide salé qui s’écoulait dans sa gorge, mordillant les lèvres et le clitoris gorgé de sang. Cela dura de longues secondes, comme si ça ne devait plus s’arrêter. La jeune femme était prise de tremblements frénétiques et son con giclait comme un tuyau percé. — Oui vas-y, bouffe-moi la chatte, ne t’arrête pas ! Éric ne l’avait jamais entendue parler ainsi et ce ne pouvait être Eva qui parlait, ou alors Mireille était la meilleure actrice du monde. Il sentit sa queue trembler dans son pantalon, signe d’une explosion imminente. Il se leva et alla rapidement poser son sexe tendu contre la bouche de Mireille, qui l’engloutit avec gourmandise. Elle le suça amoureusement durant quelques secondes, avant qu’il ne lâche sa semence en longues giclées chaudes au fond de la gorge de sa femme. Mireille resta allongée sur la table, le souffle irrégulier, le bandeau toujours posé sur les yeux, les cuisses trempées du jus de son plaisir. Son corps était traversé de frissons, ultimes soubresauts de l’orgasme intense qui venait de la consumer. Éric continuait à la caresser tendrement, posant des baisers délicats sur sa peau couverte de sueur et des reliefs de leur repas. Elle retira son bandeau. — J’espère que vous avez bien dîné, mon mignon ? lui ...
    ... demanda-t-elle en souriant, tandis qu’elle restait affalée sur la table. Quel dessert vous ferait plaisir, pour terminer cette soirée ? Il aurait aimé la baiser ici-même, sur la table et sans fioritures. Il l’aurait retournée et après l’avoir sommairement préparée, l’aurait empalée sans ménagement sur sa lance dressée. Mais plutôt qu’une lance, c’était une limace flasque et dégoulinante qui pendait entre les jambes. — Que diriez-vous d’aller vous rafraîchir et de m’attendre ensuite dans votre chambre, allongée nue sur le lit, les yeux bandés et offerte à mes désirs ? Il me reste cent-cinquante euros pour terminer la soirée. Ils sont à vous, pour autant que vous me livriez votre corps sans conditions jusqu’au petit matin. La jeune femme lui lança un regard soupçonneux, mais elle mourait d’envie qu’il la prenne enfin, qu’il baise la pute en chaleur qui l’habitait depuis le début de leur soirée. — D’accord, répondit-elle. Je vais me refaire une beauté et préparer la chambre ! Mets-toi à l’aise en attendant. Je crois que le film de tout à l’heure n’est pas terminé. Elle quitta la pièce en balançant les fesses et en lui lançant une œillade égrillarde qui eut un effet immédiat sur la bite endormie d’Éric… Il remit le lecteur en marche alors que l’image de leur chambre disparaissait, remplacée par celle d’une boutique, dans laquelle il reconnut le drugstore où son épouse travaillait tous les matins. Il n’eut plus aucun doute lorsqu’un superbe cul féminin apparut face à l’écran, dans sa ...
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