La professionnelle - Histoires de Sexe

La professionnelle

... défonçait le cul. Son visage devait avoir pris une couleur rouge intense, comme chaque fois qu’elle se retrouvait dans une situation gênante. — Euh… cet article n’est pas à vendre, Monsieur. Vous désirez autre chose ? finit-elle par dire d’une voix tremblante.— Je vois. Eh bien, je vais attendre que le patron revienne, alors. On lui demandera ensemble s’il est à vendre ou pas, répondit-il sans se départir de son sourire. Mireille était piégée. Elle se retourna brièvement vers la caméra, avant de répondre au jeune homme : — Ok, mais ça te coûtera cinquante euros, mon gars, et si tu t’avises encore une fois à me faire chanter… j’en touche deux mots à mes potes, et le « but plug » de ta copine sera un cure-dent à côté de ce qu’ils t’enfonceront dans le fion ! Éric ne put s’empêcher de rire, en entendant sa timide épouse jouer avec assurance le rôle d’Eva la délurée. Elle se tourna vers la caméra, qu’elle regarda fixement, et tendit sa croupe vers le comptoir. Le jeune homme se pencha et avança la main pour se saisir de la tresse et la tirer lentement, jusqu’à ce que le jouet quitte son étui soyeux en émettant un « plop » sonore. Il posa un billet de cinquante euros sur le comptoir et, lançant un baiser à la vendeuse, quitta le magasin, son trophée à la main. Après une dernière image de Mireille se baissant pour envoyer un baiser à la caméra, l’écran vira au noir. Éric n’en revenait pas. Sa timide Mireille, se baladant les fesses à l’air sur son lieu de travail, le cul ...

... fourré d’un plug qu’elle s’était fait ôter par un inconnu ! Il commençait à se demander si cette histoire n’était pas allée trop loin, lorsqu’une voix féminine l’invita à la rejoindre dans la chambre. Perdu dans ses pensées, il monta les escaliers et pénétra dans la pièce à peine éclairée. Eva était nue, allongée sur le dos, les yeux bandés, raide et tremblante, les tétons dressés vers le ciel. Il la regarda durant de longues secondes. Les frissons qui parcouraient sa peau révélaient une excitation intense. Éric la laissa mijoter dans son jus durant quelques minutes, ouvrant des tiroirs, faisant résonner des bruits métalliques, des bruits de tissu que l’on froisse, de ceinture de cuir qui claque. — Retourne-toi, lui dit-il. La jeune femme se retrouva sur le ventre. Il lui attacha un collier de chien autour du cou et, saisissant ses poignets, lui passa une paire de menottes garnie de fourrure rose, avec laquelle ils s’étaient amusés bien des années plus tôt. Il attacha la laisse à la paire de menottes, de manière à ce que les mains remontent jusqu’au milieu du dos. Enfin, il glissa un épais coussin sous son bassin afin de laisser ses fesses bien en évidence. — Alors Eva, on mouille en s’exhibant dans un commerce de quartier ? Ton mac n’apprécie pas ce genre de choses, tu sais. Il m’a d’ailleurs demandé de te donner une bonne correction, pour t’être comportée d’une façon aussi indécente. Tout en parlant, il fit claquer plusieurs fois la ceinture entre ses mains, s’amusant des ...