1. Dépossession - 5


    Datte: 05/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- - Mais ! Docile !! J’étais honteux, je savais que je venais d’enfreindre une des règles posées par ma maitresse : je venais de juter dans ma cage, alors que maitresse faisait l’amour à son amant (qui est accessoirement la personne qui a abusé de moi et qui est la cause de toute cette histoire). J’ai senti son regard se poser sur moi, en colère. J’étais terrifié. Adem ne souriait pas lui non plus, il prenait son rôle très au sérieux. Maitresse se leva, s’approcha de moi. Comme j’étais à genoux, son sexe était ma hauteur, je sentais cette odeur enivrante qui mélangeait cyprine, semence, liquide pré-séminal, hormones féminines et masculines. Ses poils étaient trempés. De mon point de vue, la perspective jouait, elle semblait immense, colossale. Colossale, oui, comme la gifle qui vint me frapper les joues. Je tombai par terre sous le choc, tête la première. Sonné. - Comment oses-tu me désobéir ?! Devant mon amant en plus ? J’étais parfaitement anéanti. Devant son amant ? Je n’étais donc définitivement plus qu’un jouet, un objet pour elle ? Cette claque était encore plus forte que la précédente : elle m’utilisait comme godmichet qu’on range après l’orgasme. Mon humanité, elle s’en battait les couilles. Je n’existais plus en tant que personne. C’était dans mon contrat. Je n’en avais jamais autant pris conscience que maintenant. Avais-je encore le droit d’utiliser « je » ? - Tu as tout gâché, Docile ! C’est ta faute ! Adem se ...
    ... leva, s’approcha de ma maitresse, qui fut autrefois ma petite copine. Celle avait qui je sortais au cinéma quelques fois, à qui je faisais des bisous dans le cou pendant que nous regardions Netflix sur ma télé. Il l’entoura de ses bras musclés, lui caressa les cheveux. - Chuut, il ne refera plus jamais ça. Il le sait, lui susurra-t-il dans l’oreille, qu’il mordilla avec tendresse - Comment est-ce que je pourrais en être sûre ? Cracha-t-elle sans me lâcher du regard, mais en passant sa main sur les fesses de l’homme, comme pour chercher du réconfort. - Eh bien parce que sinon tu publieras toutes ses photos sur le facebook de la fac, tout simplement… Elle se tue quelques secondes. C’était un peu fort. Elle semblait hésiter et cherchait dans mon regard une excitation, un quelque chose qui lui validerait que cette nouvelle règle aurait du sens dans le jeu sexuel qui nous liait. Mais elle n’y trouva que de la pitié, pour cet être faible que je devais paraître à cet instant, écroulé au sol et la joue rougeâtre. - Oui, exactement, tu as raison, déclara-t-elle finalement alors qu’Adem lui malaxait un sein. Docile, si jamais tu rejutes encore une fois, toute la fac sera au courant. Tu ne pourras plus jamais ressortir d’ici avec ton identité d’homme, mais tu seras humilié partout où tu iras. Mon sexe me faisait de nouveau mal dans ma cage ; sans cette dernière, j’aurais bandé de plus belle à l’écoute de cette injonction. La soirée se termina, je fis la vaisselle, ils se quittèrent en ...
«123»