Dépossession - 5
Datte: 05/08/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... être, le déverrouillage d’un nouveau palier de ma soumission. Je prenais beaucoup de plaisir parce qu’il était doux. J’étais très étonné, mais j’eu l’impression qu’il faisait en sorte que je prenne mon pied. Il enfonça un deuxième doigt si bien que je commençais à dandiner du cul. - Mhh, t’as l’air d’aimer ça, ma petite salope. C’était le moment. De ses deux grandes mains de rugbyman (il parlait souvent de ses matchs avec Maîtresse), mon Maître m’enfonça son chibre au fur et à mesure dans mon anus. Je me délecter de ma situation, tout en pensant à la honte que représentait le fait qu’un meuble puisse ressentir du plaisir. Une fois au bout, enfoncé jusqu’à la garde, il commença les allers-retours. Je sentais ses bourses taper contre mon scrotum. J’étais en transe. Maître se faisait plus brutal, ses coups étaient moins retenus, et produisait quelques sons gutturaux de temps à autre. Je fermais les yeux pour savourer ce moment nouveau, cette nouvelle situation. Il me claqua sur les fesses, comme il faisait parfois à ma Maîtresse. Au bout d’un certain temps, le rythme s’accéléra, la cadence s’accompagna de plus de bruits de sa part. - Souris pour la caméra, me dit-il en riant. J’entendis un clic, il venait de prendre une photo de la situation. Puis il eu un son plus fort que les autres, auxquels s’accompagna sa jouissance. Je senti mon anus rempli de sa semence, je me sentais entier, vivant. Ma propre bite me faisait mal au ...
... point que j’aurais voulu l’arracher, et cette douleur se rajoutait à mon plaisir. Son foutre dégoulinait sur son chibre tendu lorsqu’il se désengagea de mes fesses. Je me retournais, sachant quelle serait la prochaine étape : j’avais suffisamment été blâmé pour mon manque d’initiatives. Je pris donc son sexe en main, alors qu’il était maculé de son sperme. Je le pris en bouche, en rétablissant le contact visuel, comme d’habitude. - Ma chérie, ta maîtresse, est très contente de te voir progresser dans la découverte de ta sexualité, m’annonça-t-il le nez collé à son portable alors que je continuais à lui pomper la queue. C’est bien Docile. Tu deviens une véritable poupée gonflable. J’étais satisfait que mon Maître me complimente ainsi et redoubla d’ardeur pour tout nettoyer. - Je pense que nous allons pouvoir passer à la prochaine étape très bientôt petite salope. Devant mon regard interrogateur, il rajouta : - Tel que tu es, tu n’es pas à 100% des fonctions sexuelles que nous pourrions utiliser, ta maîtresse et moi. Nous allons devoir y remédier. Il juta une nouvelle fois dans ma bouche. Son liquide était chaud, je prenais goût à ce breuvage qui devenait une boisson quotidienne. - Fais tes adieux à ta dernière once de masculinité. Puis il quitta la pièce après que je lui ai refermé moi-même son jean et sa braguette en silence. Ce soir-là, je tremblais en pensant aux jours prochains. Ma santé mentale se dégradait à vu d’œil.