Un anniversaire particulier
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fhhh,
profélève,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
cérébral,
ecriv_c,
J’ai commencé ma carrière professionnelle, âgée de 22 ans, dans un foyer de jeunes travailleurs âgés de 16 ans à 21 ans (âge de la majorité à cette époque). Le directeur de l’établissement, vu mon jeune âge, avait préféré me confier la mission de soutien scolaire aux cadets afin qu’ils puissent repasser leur CAP avec succès. Je garde un bon souvenir de cette première expérience de travail qui avait permis ma première aventure érotique plurielle sans mon mari. Sept des jeunes sur la dizaine que j’avais accompagnés avaient obtenu leur CAP. Obligés, cinq d’entre eux, la première année qui suivit leur succès, avaient gardé un contact régulier avec moi. Puis, progressivement, leurs visites s’étaient espacées. Seul de la bande, Jean Michel avait continué à venir me voir régulièrement un soir par semaine. Si, pour ma part, j’en avais été un peu déçue, mon mari n’en avait pas été pas mécontent. — J’en avais marre de ces adolescents attardés qui te regardait comme si tu étais la seule femme au monde, avait-il jeté un jour où je lui avais exprimé ma déception. J’étais reconnaissante à Jean Michel de ses visites hebdomadaires, d’autant plus que, manifestement, la gratitude n’était pas le seul motif des ses visites : il me vouait une admiration évidente et éprouvait manifestement des désirs inavoués qui flattaient ma féminité et mes envies de séduction. Ses soirées à la maison dont, je l’avoue, deux ou trois très intimes - mais c’est une autre histoire- perdurèrent durant trois ans ...
... jusqu’au jour où il se présenta avec Stéphane, un nouveau copain de la bande. Ce fut avec une certaine fierté qu’il nous présenta, à moi et à mon mari, ce copain qu’il s’était permis d’inviter. Quoique ce dernier fût leur aîné d’à peine plus d’un an, je m’aperçus que Jean Michel le considérait comme un grand frère. Certes sa réussite sociale -il était responsable de secteur chez un grossiste en appareil sanitaire- contribuait à l’imposer comme référent et lui conférait sur cette bande de jeunes malmenés par la vie une ascendance dont il avait l’intelligence de ne pas profiter, mais, en outre, sa personnalité faisait de lui quelqu’un de sûr sur qui l’on pouvait compter. Mûr pour ses 22 ans, serviable, d’humeur égale, indulgent, il savait les conseiller sans ostentation déplacée. Au début, Stéphane n’était venu chez nous qu’en compagnie de Jean-Michel. Puis, peu à peu, il s’était arrangé pour venir seul. Au fil des mois, j’ai appris à mieux le connaître. Il vivait avec une jeune fille qu’il avait connue alors qu’elle avait treize ans. Stéphane semblait heureux avec cette Lolita qui, pour le conserver, acceptait son besoin d’indépendance, car il avait conservé ses habitudes de célibataire… Chaque semaine, il sortait seul en boîte ou accompagné, disait-il, de secrétaires plus ou moins jeunes qu’il draguait sur son lieu de travail. Nous pensions qu’il se vantait un peu. Mais un fait était certain : Tous les vendredis soirs, il faisait la fête et bien souvent avant de sortir, il venait ...