1. Un anniversaire particulier


    Datte: 06/08/2021, Catégories: fhhh, profélève, grossexe, anniversai, amour, volupté, cérébral, ecriv_c,

    ... de 30 ans. A tel point que 20 heures arrivèrent sans que je m’en rende compte. Ce fut le tintement de la sonnette de la porte d’entrée qui me rappela à la réalité. Fébrile, j’allais ouvrir la porte en espérant que mon attitude ne trahisse pas mon émoi. Stéphane se tenait sur le seuil, un sourire charmeur aux lèvres et deux bouteilles de champagne à la main… — Oaouha !… encore plus jolie que dans mes rêves, lâcha-t-il toujours aussi charmeur. Il me déshabillait du regard sans retenue. — Tu es toujours aussi bandante ! Surprise, je n’avais su que lui répondre : — Et toi tu n’as pas changé ! Tu es toujours aussi impoli !— Mais, je ne t’ai jamais manqué de respect— Oui… C’est vrai, avais-je du admettre. Alors Pourquoi aujourd’hui… ?— Hé ! Cadeau. C’est ton anniversaire ! Sur ces mots, il m’embrassa, peut-être un peu plus longtemps et plus près de la bouche que la bienséance l’aurait voulu. M’arrachant de cette situation qui ne me laissait pas insensible, je le précédais dans le salon, presque aussi maladroite et impudente qu’une adolescente éprouvant, pour la première fois, le regard d’un homme peser sur son corps. Touchée par sa remarque et par son baiser, je marchais lentement devant lui, le laissant contempler à loisir mes formes qu’il ne pouvait manquer de distinguer par contre jour. Assis, il continua à parcourir mon corps de ses yeux bleus pendant que, pour le faire patienter, je lui versais une coupe de son champagne. — Voilà, Monsieur est servi, je suis à sa disposition, ...
    ... avais je lancé, idiote ! La réponse était tombée équivoque. — Merci, j’avais remarqué et je n’hésiterai pas à en abuser.— Mais, cher ami, vos désirs seront des ordres. Double idiote ! J’avais lancé cette répartie sans réfléchir (Ah! Cette habitude de toujours vouloir avoir le dernier mot). Evidemment la réponse avait fusé : — Je m’en souviendrai Heureusement, la sonnerie de la porte d’entrée m’épargna une réponse embarrassante. Le reste de la bande arrivait. Enfin, presque ! Bruno et sa copine avaient un empêchement et ne pouvaient venir. J’en étais contente. J’allais être la seule femme à bénéficier des attentions de trois jeunes hommes. Les retrouvailles furent chaleureuses et les compliments nombreux. L’apéritif dînatoire fut l’occasion de m’offrir une magnifique psyché et d’évoquer leurs "faits d’armes" et toutes les bêtises qu’ils avaient faites à mon insu alors qu’ils étaient au foyer. L’alcool échauffait les esprits. Ils en oubliaient ma présence et racontaient sans gêne leurs expériences avec les filles. Mai 68 avait bien libéré les mœurs !!! Plus âgée de huit ans environ, je n’avais pas le quart de leur expérience du sexe. Quoique amusée par leurs histoires, je commençais à m’ennuyer un peu et à regretter leur relative indifférence à mon égard. Je me levai donc et mis un fond musical. J’avais été inspirée. A peine les premières notes s’égayèrent dans la pièce que Stéphane se leva comme un ressort et m’invita à danser. Didier voulant faire ambiance baissa la lumière ...
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