1. Le maquis des sentiments


    Datte: 06/08/2021, Catégories: fh, couplus, vacances, plage, bateau, vengeance, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, exercice,

    ... reste ma liberté. Et c’est dans la gorge de sa femme que je déverse ma liqueur. L’autre, là-bas, c’est dans un cul déniaisé qu’il jute. Un cul qui reste un long moment cambré alors que son maître l’a quitté. Position obscène de la chienne remplie du foutre de son amant. Matéo se relève, prend Claire par la main et l’entraîne. Elle le suit sans réagir, domptée, inerte. Un peu plus loin, au fond de la coursive, nous entendons la porte de la chambre se refermer. — Mais… dis-je, surpris de ce dénouement.— Laissons-les. Demain est un autre jour. Tu retrouveras ta Claire plus resplendissante que jamais. Matéo n’en a pas fini avec elle. Allons dans ta chambre, me console Aura. Les cloisons sont si fines que tout le temps qu’ils baisent, nous sommes comme dans la chambre avec eux. De toute façon les jouissances de Claire doivent s’entendre au large. Je me demande si elle ne le fait pas express pour me punir encore plus. Il y a longtemps que j’ai dépassé ce stade et Aura se charge de me combler. Le matin, c’est silencieux. Je guette chaque bruit, mais rien.« Un autre jour » comme dit Aura. Un jour où Claire et moi allons nous retrouver. Comme avant ? Certainement pas. Pour le moment je suis bien incapable d’oublier. Pourtant tout est de ma faute et elle n’a fait que se venger et me punir. La punition est à la fois violente et douce. Violente de ce que j’ai vu, douce de ce que j’ai fait avec Aura. Aura qui se réveille à mes côtés. Une Aura, câline, son corps brûlant contre le mien. ...
    ... C’est elle qui me caresse. C’est elle qui me souffle à l’oreille « une dernière fois avant que tout redevienne comme avant ». Elle qui me suce délicatement. Elle qui vient sur moi en 69 pour que je goûte aussi à sa grotte et son clito étonnamment gros. Elle qui me chevauche. Cavalière assagie, cherchant à se donner du plaisir. Nous jouissons en silence. Un peu comme des adolescents qui ne veulent pas réveiller leurs parents. C’est tout bête, mais ce moment de tendresse me réconcilie avec moi-même. Une sorte de « bonus » en cachette, un point final délicat à notre soirée d’hier. — Repose-toi, je vais préparer le petit déjeuner, me dit ma maîtresse d’une nuit. Elle se lève. Je la vois partir, nue, fermant la porte de notre chambre avec précaution. C’est vrai que toutes ses affaires doivent être à côté, là où Matéo et Claire reposent. Quelques secondes et je me dis que je devrais aller l’aider. Je lui dois bien cela et je ne veux pas passer pour un macho. Je me lève, enfile mon short et me dirige vers la cuisine. Personne ! Elle a dû monter pour profiter du soleil et de la vue magnifique. J’avance. Personne dans le carré. Pourtant j’entends parler. La porte qui sépare carré et plage arrière inondée de soleil est entrouverte. J’avance. Une voix masculine. La voix d’Aura aussi. Nos hôtes bavardent. Je ne savais pas qu’il était levé. Alors Claire doit reposer dans leur chambre ! Et si j’allais lui faire la surprise ! Mais j’entends : — Regarde comme c’est beau. Qui ne rêverait pas ...
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