Le maquis des sentiments
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
bateau,
vengeance,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
exercice,
... amie. Comme moi, elle a voulu profiter de cette crique. Nous bavardons, assis sur le sable, les yeux regardant la mer. Surtout chacun évite de regarder l’autre, de croiser son regard. Après les banalités échangées, un long silence s’installe. — Tu te souviens ? dit cette voix si douce que j’en pleurerais. « Si je me souviens ? Mais chaque jour que Dieu fait, je me remémore ces journées de l’année dernière. » — Oui, bien sûr. ------------------------------------------- Claire et moi on se connaît depuis six mois et on a décidé de s’installer ensemble, dès la rentrée. La vie nous sourit. On s’aime. Nos études, elle d’histoire de l’art option « Rome antique », moi de Sciences Exactes, ont été couronnées de succès cette année. Même le job d’été a été assez rémunérateur pour qu’on puisse se payer quinze jours dans un gîte en Corse. Mieux encore, le « papé » du coin nous a pris en affection. Il faut dire que les quelques mots de Corse que Claire connaît nous ont rendus sympathiques. C’est lui qui nous indique le chemin de cette crique. C’est lui qui nous donne les autorisations de franchir ces propriétés où les gens du coin sont si tatillons. Depuis une semaine, chaque matin nous descendons, pour n’en remonter que le soir. On y déjeune de quelques fruits. On boit l’eau du ruisseau, mais aussi du rosé que l’eau de la montagne se charge de garder au frais. On lit. On se baigne. On écoute de la musique. Mais aussi on y fait l’amour. Adam et Ève, avant de « fauter », c’est nous. ...
... Nous sommes les seuls occupants de ce paradis et nous y vivons nus. Jusqu’à cette crique, Claire et moi faisions l’amour, je dirais, de façon très classique. Peu de fantaisies. Mais des jouissances parfaites, signe que nous nous complétions parfaitement. Je savais que Claire avait connu d’autres garçons avant moi, mais assez peu et manifestement sans grande imagination. Mais ici, nus et dans cette ambiance, tout devient naturel et presque spontané. Tout à l’heure, juste en sortant de l’eau, avant même d’atteindre notre serviette, Claire s’est accrochée à moi. Déjà dans l’eau elle s’était montrée coquine, n’hésitant pas à flatter mon sexe pour l’exciter. Évidemment, en sortant c’est une queue dure qui se plaque contre mon ventre. Elle se colle à moi, se frotte sans retenue et puis s’enfuit. Je comprends seulement au bout de quelques secondes que c’est un jeu lorsque je l’entends crier : — Au secours. Au secours. On en veut à ma vertu. « Attends, petite : ta vertu, je vais m’en occuper… » pensé-je en courant après elle. Quelques mètres dans la forêt et, la Belle, est bloquée par un buisson. — Pitié, monsieur. Pitié. Elle se jette à mes pieds et évidemment se retrouve au niveau de ma bite qui est toujours dressée. — Je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me faites pas souffrir. D’un doigt, je pousse ma tige vers son visage. La fugitive ne se fait pas prier. Bientôt, bouche, lèvres, langue et mains ne sont que des instruments de mon plaisir. Que c’est bon cette bouche qui ...