Le maquis des sentiments
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
bateau,
vengeance,
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
exercice,
... si douce, ces tétons si forts… Ma queue est caressée. Mes fesses sont enveloppées. Je n’ose bouger de peur de rompre le charme. Juste une remarque que je formule, mais que je ne pense déjà plus. — Il ne faut pas !— Chut. Personne ne saura. J’ai trop envie et toi aussi. Bien sûr que j’ai envie. Qui pourrait résister à de tels assauts ? Déjà ses lèvres quittent les miennes. C’est pour s’emparer de mes tétons. Ces toutes petites pointes qu’un homme oublie, qu’aucune femme n’a jamais remarquées, mais qu’Aura suce avec délice. Cette caresse me surprend. Cette caresse me trouble. Je ressens du plaisir. Mais elle ne s’attarde pas plus. Elle descend. Mon nombril est léché. Cela aussi me trouble. Et puis, elle s’agenouille. Et puis ses lèvres s’emparent de mon gland. Aussitôt ses mains se plaquent sur mes fesses faisant une prison de chair qui m’empêche de reculer. Reculer ! Mais qui voudrait refuser un tel cadeau. Je ne vois que des cheveux mouillés, mais ma queue sait me dire la douceur de la caresse. Je sens ses lèvres ourlées et maquillées progresser un peu plus à chaque fois. À chaque fois elles avancent un peu plus le long de ma hampe, bâton rigide qui se dresse vers le ciel. Le ressac n’est pas celui de la mer, mais celui que la salive produit à chaque fois que ma bite disparaît. C’est bon de se faire sucer. J’ai honte, mais c’est bon. Là-bas, la silhouette se dédouble et puis se reforme. Nous, pendant ce temps, nous sommes coupables. Mais étrangement cela m’excite. J’apprécie ...
... de n’être qu’un jouet entre les mains de cette femme. Je ne suis pas responsable. À peine une victime consentante. Une victime qu’on invite à s’allonger. Une victime qui accepte d’être à nouveau sucée et branlée. Une victime qui voit s’approcher cet océan de douceur. Ces cuisses qui l’enjambent pour venir l’envelopper. Cette cavalière qui déjà guide la queue raide vers sa chatte, fente qui ne peut être qu’une grotte humide et accueillante. Il ne voit plus qu’elle. Il ne sent plus qu’elle. Elle s’est empalée sur lui d’un seul mouvement, ondulant déjà sur la cheville pour en profiter au mieux. Elle s’immobilise. Pourtant je sens ma bite qui bouge. On dirait que de petites mains me massent. Aura est concentrée. Je comprends qu’elle commande à son vagin, à ces muscles si intimes, de se contracter et de se relâcher me procurant un massage délicat. Mais son envie l’emporte. Bientôt c’est une furie qui me chevauche. — Caresse-moi les seins… oui… plus fort… les tétons… encore… Qui n’obéirait pas à ses ordres ? Ses seins, pourtant fermes, oscillent au rythme de sa possession. Les fesses claquent sur mes cuisses. J’entends distinctement le clapotis de ma queue dans la grotte. Je me cambre pour me pousser encore plus en elle. C’est bon. C’est puissant, presque violent. Le sable me griffe le dos et les fesses. Maintenant elle est droite, altière, princesse qui domine son étalon, une main qui caresse son clito, l’autre qui force mes doigts à torturer ses tétons. — Je vais venir.— Attends, ...