Innocente mais impudique Manon
Datte: 07/08/2021,
Catégories:
jeunes,
freresoeur,
vacances,
plage,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
massage,
nopéné,
uro,
portrait,
prememois,
Inceste / Tabou
... pas que son pied ! Je dus m’asseoir à mon tour pour mieux voir, mais je ne sais pas ce que je souhaitais voir le mieux, son pied ou son sexe. Un petit baiser sur la supposée piqûre la soulagea mais elle voulut elle-même voir de plus près cette petite blessure, prenant son pied en main, le ramenant vers son visage en écartant ses genoux au maximum. Et j’étais assis trois marches plus bas ! C’est à dire que mes yeux avaient en ligne de mire ce que très innocemment elle me présentait et qui, du fait de sa position, s’entrouvrait. Ce jour-là, j’ai eu très chaud aux oreilles. Un soir où j’avais mal à la tête, et que nous étions installés dans notre canapé favori, j’éprouvai le besoin de m’allonger. Manon était assise près de moi, une jambe posée sur l’assise, contre l’accoudoir, l’autre sur le siège, contre le dossier, talon contre les fesses, sa position favorite. Elle avait revêtu une sage chemise de nuit qui, pour une fois, ne montrait rien de son intimité. — Pose ta tête ici, me dit elle, indiquant sa cuisse posée contre l’accoudoir. Ce que je fis, ma nuque contre son ventre tandis qu’elle caressait mes cheveux. Maman me donna, avant de monter se coucher, à prendre un comprimé que je bus sans changer de position et je me réinstallai. La main apaisante de Manon dans mes cheveux, je me laissais aller à une douce léthargie qui ne dura guère. Je changeais sans cesse de position, me tournant et retournant pour enfin me laisser aller à nouveau. Le comprimé avait fait son effet ; ...
... j’étais bien. J’étais bien car je n’avais plus mal à la tête, j’étais bien parce que la cuisse de Manon était douce à ma joue, j’étais bien car sa main caressait mes cheveux. Mais quelque chose me dérangeait, quelque chose qui chatouillait mon nez. J’ouvris tout doucement un œil et vis rapidement ce qui gratouillait mon nez. En me retournant comme je l’avais fait, la chemise de nuit de Manon s’était relevée et, comme elle n’avait pas de culotte, mon nez était dans ses poils. Surtout ne pas bouger. Inspirant je reconnus cette odeur qui aurait dû me prévenir mais mon mal de tête n’était pas tout à fait terminé. En respirant je soufflais dans ces poils et, inspirant, j’en avais même dans ma bouche. Manon continuait à caresser mon front, n’ignorant rien de ma position, mais ne la trouvant absolument pas incongrue. En y réfléchissant je me dis que Manon n’avait pas de sexe, au sens sexuel du terme. Pour elle son sexe n’était qu’une partie de son corps, comme son visage, ses mains, son ventre et elle n’était pas plus gênée de la présence de mon nez dans ses poils que de ma joue sur sa cuisse. Notre éducation naturiste n’avait eu aucun mal à devenir son mode de vie favori. Sa règle innocente était de n’avoir aucune pudeur en famille. Manon fonctionnait ainsi et les explications ou les remontrances de papa n’étaient suivies d’aucun effet. Maman ne disait rien de ces comportements car elle avait les mêmes. Combien de fois ai-je entendu papa lui dire sur un ton qui se voulait de reproches ...