Banquière perverse (29)
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... spectacle. Sophie plonge déjà ses deux mains dans ledit vêtement, et en extirpe le phallus à la taille impressionnante ; sous des « Oh ! » de stupeur et des regards de convoitises. Courbée en deux, elle saisit l’engin à deux mains et l’embouche. Tous les regards se tournent vers le cul de Sophie et la bite de Heubi, l’envie et la gourmandise se lit sur les visages ; les pantalons des hommes se déforment et certains entrejambes féminins laissent apparaître des traces brillantes. Pour attiser les gourmandises, j’ôte mon peignoir et me présente sabre au clair face à l’abricot de Sophie. Encouragé par le public avec des : «Baise-la ! Baise cette petite dévergondée… ! Enfonce-lui ta bite dans le cul… ! » J’attrape le petit cul à deux mains et lui enfile mon zguègue dans le fion, puis la lime avec toute la vigueur qui je peux mettre dans mes mouvements. Il faut que cette baise publique soit le plus porno possible, alors en plus de la limer, je lui claque le cul et lui lance des obscénités. — Alors, petite dévergondée, c’est ce que tu veux ! Bouffer des bites, te faire sauter au lieu de travailler à l’école ? — Oh, oui…c’est trop bon ; Papa, tu es trop fort ; baise-moi encore. — Te baiser encore ? Certainement pas ! Allonge-toi là, sur la table ! je vais te faire passer l’envie de te faire sauter pour un bon moment ! ...
... Heubi ! Baise-la ! Sans dire un mot, il saisit la petite et lui défonce le cul à grands coups de chibre gonflé d’envie. La foule applaudit, Gladice me suce puis s’approche d’un homme. Le regard provocateur elle lui ouvre son pantalon, attrape le phallus violacé de désir et l’embouche. Pour ne pas rester en reste, je prends une femme au hasard, lui lève sa minijupe et lui dit : — Viens que je te baise ! — Oh, oui ! me répond-elle. Nous venons de sonner le début d’une gigantesque orgie. Les pantalons tombent un à un, les robes volent, les couples se font et se défont, les trous se remplissent, les bouches sucent, les langues s’emmêlent et les cris de plaisir résonnent dans la pièce. Il est 4 heures du matin, nous sommes exténués. Madame nous rejoint, une bouteille de champagne à la main et le corps couvert de sperme. Pour nous faire de la place sur des canapés, nous poussons quelques corps nus et endormis qui roulent au sol. Le grand salon de Madame ressemble à ces images d’orgies romaines où tous les corps, usés par le plaisir, jonchent le sol, empilés, nus les uns sur les autres. — Bon travail, votre prestation était parfaite ! J’ai joui et vous regardant, trinquons ! dit Madame. Nous triquons tous les cinq, en riant de nos exploits et Sophie heureuse d’avoir vécu cette aventure, déclare : — À la prochaine ! [À suivre]