La deuxième nuit, ou l'éveil des sens
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
f,
h,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Résumé de l’épisode 1 : «L’arrivée » Une amie de ma femme arrive d’Algérie pour quelques jours de vacances. Elle est hébergée chez nous. Avertissement de l’auteur : Certains mots sont en arabe, mais cela ne nuit pas à la compréhension du récit. ********** Je me suis réveillé de bonne heure ce matin-là, la tête gorgée des images érotiques des songes générés par mon subconscient fécond et le sexe gorgé de sang palpitant entre mes jambes. Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas réveillé avec une telle érection, je fume beaucoup de cigarettes ces temps-ci et j’ai remarqué que ça avait une mauvaise influence sur mes gaules matinales. Je me lève doucement pour ne pas réveiller ma moitié qui a rejoint la couche conjugale aux aurores et j’enfile une gandoura, au cas où… Je n’ai pas envie de me retrouver dans la situation d’hier, en caleçon face à Saoussen, surtout qu’en fait de caleçon, c’est un véritable chapiteau avec lequel je me promène ce matin. Je sors discrètement de la chambre et me rends dans la cuisine pour ma routine matinale : café et tartine beurrée. Une fois mon petit déjeuner préparé, je mets le tout sur un plateau que j’emporte sur la table basse du salon et je m’assois sur le canapé après avoir été ouvrir en grand les volets pour permettre à la clarté du soleil d’illuminer la pièce. Et cette érection qui ne veut pas se calmer, elle est apparente même à travers le tissu ample de ma gandoura. J’allume la radio et commence à écouter les informations diffusées en ...
... boucle, rien de bien réjouissant comme d’habitude. Je ferme momentanément les yeux et me laisse aller en arrière sur le coussin du canapé pour savourer la chaleur du liquide ambré qui coule de ma bouche vers mon estomac à travers ma gorge, une bonne matinée ne peut commencer sans un bon café pour moi, ça me réveille me donne la vitalité nécessaire pour affronter la canicule de mon bureau une journée de plus. En parlant de vitalité, il faudrait qu’il se calme, l’autre en bas ; au début, c’était réjouissant de sentir fier dès potron-minet, mais là ça devient long et, quoi que de taille tout ce qu’il y a de plus normale, encombrant. J’ouvre les yeux et aperçois immédiatement la silhouette de Saoussen entrer dans la salle. Elle a les yeux encore ensommeillés, à moitié clos et s’adresse à moi d’une voix rauque, presque rocailleuse. —Sabah al kheir, Kamal, tu as bien dormi ? Eh merde, et moi qui était là affalé sur le canap’ avec ma gandoura en toile de tente, c’est pas possible, pourquoi elle est arrivée à ce moment-là ? Je sens le sang immédiatement refluer de mon membre procréateur pour affluer à mon visage, il fait très chaud d’un coup. Je me réinstalle correctement à toute vitesse et note que la surprise a eu un effet radical sur mon priapisme, je ne bande plus, mais plus du tout. —Sabah al nour, Saoussen, oui, oui, j’ai bien dormi, mais… euh… et toi, qu’est-ce que tu fais déjà debout ? Vous vous êtes couchées tard, hier. Elle me gratifie d’un chaleureux sourire — Ne t’en fais ...