1. La deuxième nuit, ou l'éveil des sens


    Datte: 09/08/2021, Catégories: f, h, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... arrière-train. Mes mains qui remontent doucement vers ses seins pour d’abord les malaxer puis m’attarder sur ses tétons érigés par le plaisir. Elle me demande ce que je fais, mais n’esquisse aucun geste pour se dérober, bien au contraire je peux sentir son corps bouger en harmonie sur le mien et son souffle s’accélérer. Et le moment de grâce s’achève aussi vite qu’il a commencé, elle termine son étirement et attrape l’un des verres disposés sur l’armoire. Et voilà, ma gaule est revenue, c’est incroyable tout ce à quoi on peut penser en moins d’une seconde, et comment cette seconde peut avoir un effet radical sur la virilité. Si la surprise m’avait fait rabattre pavillon quelques secondes plus tôt, mes dernières pensées ont rendu toute son arrogance à mon sexe et je me hâte de le coincer sous l’élastique de mon caleçon avant qu’elle ne se retourne, technique de sioux que j’utilisais depuis mon adolescence en jogging et ses érections intempestives. Saoussen passe à nouveau devant moi, innocent, et me souhaite une bonne journée en sortant de la pièce. Je l’entends qui va dans la cuisine, fait couler l’eau dans son verre puis retourne dans sa chambre et ferme la porte. Eh merde ! je pars complètement en couilles, là. C’est la meilleure amie de ma femme et elle s’est juste étirée deux secondes devant moi, ça a suffi à me foutre une gaule monumentale. Il faut vraiment que je me calme avec mes fantasmes parce que sinon la semaine à venir va être très longue. Allez, je repars sur ...
    ... de meilleures bases et m’envoie une rapide douche froide pour calmer mes ardeurs et me débarrasser de ma transpiration nocturne, habillage, chaussage et c’est parti pour une belle journée de productivité. Métro, boulot, pause-café (tiens ! sympa la jupe de Clara de la compta, ça fait à la fois distingué et excitant), boulot, pause repas (ah le plaisir des sandwichs mangés en été au parc à midi et la folle valse des femmes qui s’allongent sur l’herbe, se lèvent, croisent et décroisent les jambes), boulot (faut vraiment qu’elle arrête de mettre des hauts aussi décolletés, la stagiaire, j’ai du mal à ne pas loucher dessus dès qu’elle passe dans le bureau), métro (cette petite beurette en hijab, mais habillée serré, ce qui est un concept assez antithétique je trouve, me rappelle immédiatement Saoussen et je sens que ma bite recommence à faire des saltos sous mon pantalon), et me voilà de retour à la maison. Cette journée ne m’a absolument pas calmé, bien au contraire, j’ai l’impression qu’on m’a injecté des phéromones en intraveineuse et je n’arrive pas à penser à autre chose qu’au cul de Saoussen fièrement tendu et moulé par sa robe jaune. J’ouvre la porte. — Salut, Omri, déjà de retour ? me lance gaiement Hanane, agréablement surprise de me voir rentrer si tôt.— Oui, je sais pas ce que j’ai aujourd’hui, c’est impossible de se concentrer sur le boulot. Ça doit être à cause de la chaleur ou je sais pas, mais j’ai absolument rien foutu de la journée. Donc j’ai préféré rentrer pour ...
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