1. La deuxième nuit, ou l'éveil des sens


    Datte: 09/08/2021, Catégories: f, h, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... pas, je vais retourner dormir, j’avais juste un peu soif et je suis venu prendre un verre. Je dors encore à moitié de toute façon, tu sais qu’on a discuté jusqu’à 5 heures du matin. Putain, j’espère qu’elle est encore suffisamment endormie pour ne pas avoir remarqué ma gaule du matin au moment où elle est entrée. Bon, elle paraît vraiment bien éteinte, après tout ça ne lui fait même pas deux heures de sommeil, et elle n’a pas l’air gênée par quoi que ce soit, je pense que je suis passé à travers cette fois-ci. — Les verres sont dans le meuble là-bas, indiqué-je en lui montrant du doigt l’armoire qui trône près de la porte-fenêtre. Elle se dirige dans cette direction et je ne peux m’empêcher de m’attarder sur son passage. Elle ne porte plus sa robe couleur violette, probablement trop chaude en cette période de canicule, mais une fine étoffe jaune très légère la couvre du cou aux chevilles en passant par les bras. Elle a passé sur sa tête un voile noir très simple. Tandis qu’elle s’approche du meuble, j’ai la surprise de constater que le tissu de sa robe, exposé à contre-jour au soleil, est beaucoup moins opaque qu’il n’y paraît. Je peux deviner, plus que ça je peux même voir, ses jambes finement dessinées bouger et se croiser sous le froissement de son vêtement. Une seconde, deux peut-être, tout ensommeillée et sans doute surprise par la chaleur du soleil sur son corps endormi, elle se fige face à la baie vitrée, puis ses bras se tendent vers le haut avant de redescendre sur ...
    ... les côtés, ses jambes s’arc-boutent et s’écartent légèrement, tendant sur ses fesses inconscientes de mon regard appréciateur le tissu de sa robe. Elle gémit alors un mmmmmmh couvrant presque le babillage intempestif du journaliste monopolisant la parole à la radio. Cet étirement est un véritable régal pour mes yeux, comme si j’étais le spectateur exclusif d’un sensuel spectacle d’ombres chinoises. Car rien ne m’échappe de la grâce de son corps étiré à travers ce tissu si permissif, si intrusif. Sa taille fine qui ne demande qu’à être attrapée fermement à deux mains pour la caler contre mon bassin, le lourd ballottement de sa poitrine qui est montée puis descendue et que j’ai à peine pu apercevoir, car elle me tourne presque complètement le dos, ses fesses rebondies inconsciemment tendues vers l’arrière par le mouvement de ses jambes et qui, en se plaquant contre le tissu tendu, y impriment leur galbe parfait ainsi que les traits d’une grossière culotte portée pour dormir. Enfin ses jambes comme sculptées par un grand maître dont le léger écart me permet de voir le point de rencontre et d’imaginer le délice qu’il renferme. Tout ce corps, clairement apparent sous le tissu illuminé de la robe, sagement offert à la chaleur du soleil est un véritable appel à l’extase, je me prends à m’imaginer la rejoindre, passer mes bras autour de sa taille et les laisser glisser tout contre son corps, tandis que ma bite profiterait du repos confortable que semble promettre son large et ferme ...
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