1. La deuxième nuit, ou l'éveil des sens


    Datte: 09/08/2021, Catégories: f, h, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... comme pour me provoquer, moi, le mari de sa meilleure amie. — Bon Kamal, il est tard et je suis fatiguée, enchaîne-t-elle aussitôt, je vais aller me coucher, bonne nuit et fais de beaux rêves. Et elle se lève sans me laisser le temps de répondre, m’accorde un sourire, quitte la pièce puis j’entends la porte de sa chambre qui se referme. Je reste alors seul, dans le noir, sur le canapé, avec mon sexe tendu à faire mal dans le pantalon et des idées libertines à foison dans la tête. Je suis bien conscient qu’elle s’est amusée à jouer avec le feu lors de sa dernière phrase, mais au fond de moi je ne sais que ce n’est qu’un jeu, une petite provocation qu’elle n’a pas du tout l’intention d’assumer. Je pense d’ailleurs que c’est pour cela qu’elle est partie précipitamment, elle s’est rendu compte qu’elle s’était aventurée sur une pente glissante et ne voulait pas tenter le diable. Je me lève alors pour fermer la porte du salon, sachant pertinemment que je ne risque pas d’être dérangé, Hanane dort profondément et Saoussen n’avait pas l’air de vouloir revenir. Il faut absolument que je me libère de toute cette tension. J’allume donc mon ordinateur, lance mon navigateur internet en mode navigation privée, et me rends sur un site porno pour y trouver mon bonheur. J’opte cette fois-ci pour les catégories « beurette » et « hijab » dans ma recherche, ce qui n’a jamais été une habitude chez moi, mais qui, dans le cas présent, accompagne parfaitement mon fantasme sur Saoussen. Je m’assois ...
    ... confortablement et ouvre ma braguette. Une fois mon affaire terminée, et après avoir regardé deux épisodes courts d’une série humoristique, je me suis couché tôt la veille donc je n’ai pas immédiatement sommeil, je décide d’aller me coucher. En sortant de la salle et en empruntant le couloir menant aux toilettes, je dois passer devant la chambre dans laquelle notre invitée est installée. Étant donné qu’il est tard et que je ne vais réveiller personne, j’avais pris garde à ne pas allumer la lumière et à marcher le plus silencieusement possible. La maison est donc plongée dans un silence absolu, silence toutefois troublé par de légers bruits venant de la chambre de Saoussen, des bruits qu’il m’est bien difficile d’ignorer. Curieux, je me rapproche de sa porte close et tends l’oreille, ce sont bien des gémissements de plaisir que j’entends. Ma belle pharmacienne est donc en train de se masturber dans l’isolement que lui offre sa chambre, tout comme moi dans le salon quelques minutes auparavant. À présent, en me concentrant, je perçois distinctement le halètement de son souffle rendu rauque par le plaisir, ses légers gémissements se font de plus en plus profonds et fréquents, j’ai comme l’impression qu’elle doit accélérer la cadence de ses doigts sur son sexe. Ainsi donc je n’avais pas été le seul à trouver cette soirée tellement excitante, et je n’avais pas été dupe du jeu de flirt que Saoussen avait entamé avec moi. Je l’entends maintenant qui commence à murmurer des choses, sa ...
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