Le pensionnat
Datte: 14/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
le pensionnat Mon père vient d’être promu en Guyane et ma mère l’a suivi pour préparer leur installation ; pour moi, à 4 mois du bac de français, pas d’autre solution : pensionnaire jusqu’à l’épreuve ; situation nouvelle car je n’avais jamais quitté mes parents si longtemps ; après tout, peut-être l’occasion de se faire des copains. L’établissement est correct et nous disposons de chambre à trois lits ; la bouffe est très bonne et à priori les surveillants ne sont pas tatillons ; pas de bordel et on vous laisse tranquille, tel est leur consigne. Et il est fréquent par conséquence que les soirées se prolongent, soit pour le boulot, et oui y a le bac, soit pour le loisir, télé ou lecture ; donc pas le bagne.s Cela fait quatre jours que je suis arrivé et ce vendredi soir, mes compagnons semblent faire des apartés et il se taise à mon arrivée ; pas grave, je prends mon bouquin et quand le sommeil me prend, je les oublie. Pas eux ; je suis soudain réveillé par la lumière d’une torche et je suis maintenu solidement au lit « tais toi, ce soir nous allons concrétiser ton arrivée et comme le veut notre tradition, un bon bizutage t’attend ; finalement il me bâillonne sommairement et découvrant mon lit, il me retire mon boxer et commence à me triturer les bourses et le sexe. Même sous la contrainte, rien de grave en réalité, je ne tarde pas à bander, et l’un deux me branle énergiquement ; « tu as déjà baisé une nana ? » oui une fois ma cousine « raconte ! » rien ne sert de me taire, ...
... et plus vite ils seront satisfait, plus vite je serais tranquille ; essayant de me concentrer, car la branlette me remue les tripes, je leur donne quelques brides de ma petite expérience ; je constate que le maintien est moins ferme ; en effet deux des loustics ont sorti leurs bites et ils s’astiquent le manche alors que le troisième me branle de plus en plus énergiquement ; le résultat arrive et ma jute se répand sur mon ventre, bientôt rejointe par celle de mes « tortionnaires » et quand il me quitte, je me retrouve le ventre souillé de sperme et il ne me reste plus qu’à aller me laver ; j’ai les jambes un peu molles et tout en me nettoyant, je réalise que je viens de jouir , branler par un mec, et que finalement, au lieu de me choquer cela me fait plaisir. J’avais simplement oublié un détail : le pion ; accoudé à la porte, il me regarde et j’en déduis qu’il m’a vu me nettoyer ; une vague d’angoisse monte et je sens mon visage se couvrir de sueur ; « couvre toi et viens me rejoindre ; cela mérite une explication. » A peine arrivé, il attaque ses questions « que t’est il arrivé ? » la trouille me paralyse et rien ne sort ; « détend toi, je ne suis pas là pour sanctionner, mais je veux savoir pourquoi tu te laves le ventre à 1h du matin » ; assis sur une chaise, je n’en mène par large, mais finalement je constate qu’il n’est pas agressif et peu à peu je me détends ; il me rappelle à l’ordre « alors tu te décides ! Tu préfères que je réveille tes petits copains » ; cette fois ...