Le pensionnat
Datte: 14/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... les couilles et un doigt lui caresse le scrotum, geste qui m’amène très souvent au plaisir ; j’ai l’impression qu’il me baise tellement ses mouvements sont rapides , soudain sa queue gonfle et avant que j’ai pu me retirer, il éjacule dans mon gosier ;je ne peux qu’avaler ; j’ai déjà goutté mon sperme , et celui-ci m’apporte le même plaisir, sucré, gluant sa jute me coule à la commissure des lèvres ; enfin il débande et m’agrippant la queue, en deux coups e poignet il me fait jouir à mon tour. « Vas te coucher maintenant, on se reverra et pas un mot » j’ai beaucoup de mal à trouver le sommeil ; ma queue à nouveau tendue, je repense aux événements ; mon plaisir a été grand, mais je perçois un manque ; je comprends soudain que j’aurais aimé aller plus loin ; je viens de comprendre que j’aime les hommes, la suite va le confirmer. Le lendemain, mon voisin de chambre a un petit sourire « tu es revenu bien tard……rassure toi, il m’est arrivé la même chose » je dois avoir piqué mon fard ; « tu as aimé ? Dis-moi ce qu’il t’a fait….. » Heureusement l’heure du déjeuner m’évite de répondre. Au retour, nous avons le temps libre, c’est le week-end et ne reste que les isolés de leur famille ; il en ai de même pour marc mon voisin de lit ; et bien entendu, il revient sur ma soirée, mais cette fois en parlant de lui « après mon bizutage, il m’a fait venir dans sa chambre et j’ai eu des relations avec lui ; pour moi ce n’était pas nouveau, j’ai déjà eu une aventure avec un autre garçon ; j’ai ...
... donc aimé, et je vais parfois le rejoindre dans sa chambre ; à toi maintenant » je suis toujours gêné, mais ses aveux ont réveillé mes envies et je commence à être à l’étroit dans mon pantalon ; allongé sur son lit, Marc a sorti sa queue et il se caresse « vas-y raconte, tu vois moi je ne me gène pas » finalement je lui raconte ma soirée et sous ses questions précises, je reconnais mon plaisir ; « viens me sucer, j’aime les hommes et je vois que toi aussi » cela me tenaillait depuis un petit moment et c’est sur une belle queue que ma bouche se pose encore maladroitement ; ma langue s’enroule sur le gland, lèche le méat ; et ma main lui caresse les couilles ; puis lentement je la gobe, m’enfonçant progressivement ; bientôt je viens buter contre mon palais ; je viens de l’avaler en entier et un gémissement traduit son plaisir ; en bougeant son bassin, c’est lui qui donne le rythme ; il me pénètre la bouche, je prends un plaisir immense à le sucer ; ma langue lui lèche le méat et je recueille la goutte qui perle ; se retirant, il enlève mon pantalon et je suis bientôt à poil ; il m’a plaqué à plat ventre sur le lit et ses mains parcourent mon sillon ; ses doigts me caressent le sillon et un doigts triture mon anneau ; un jet de salive atterrit sur mon cul et il s’en sert pour me pénétrer un peu plus l’anneau qui peu à peu se dilate ; me remontant le bassin , sa langue se plaque sur mon sillon et il me lèche, salivant sur mon œillet, essayant de s’introduire ; soudain c’est son ...