Le pensionnat
Datte: 14/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... c’est un ordre et je ne peux que m’exécuter. « J’ai eu droit à un bizutage, mais rien de grave » … « raconte….. » cette fois je suis gêné… « Ils m’ont réveillé et l’un deux m’a masturbé. » « C’est tout, je veux la suite ! » Assis sur son lit, il me regarde de la tête au pied ; « j’attends, on ne va pas y passer la nuit ». Je lui raconte alors les faits, rouge de confusion, surtout quand il me demande « et tu as jouis ? » je suis bien obligé de le reconnaître « tu as aimé te faire branler et recevoir leurs jutes ? » cette fois la question me surprend, d’autant plus que je constate qu’une bosse s’est formé sous son vêtement. Il m’est impossible de répondre et c’est lui à nouveau qui reprend « je n’ai pas besoin de ta réponse car à voir ton sexe sous ton boxer, je constate que c’est oui » silence car en effet je bande ferme ; le souvenir des événements me revient et surtout le fait que j’y ai pris du plaisir. » Et toi, tu les as touché ? » Un signe de négation de ma part ; « tu aurais aimé ? Tu en as envie ? » Je ne sais ou il veut en venir ou plutôt je pense qu’il veut savoir par curiosité ; je me trompe fortement, car se levant, il se rapproche et me mettant la main sur l’épaule « répond honnêtement, tu aurais aimé ? » Un signe de tête lui donne ma réponse ; « tu veux en toucher une ? Rassure-toi, je ne t’oblige pas ! » Il est près de moi et je vois sa bosse tout près ; se tournant légèrement il se frotte discrètement contre mon bras. Il s’appuie de plus en plus et je la ...
... sens battre ; j’ai envie, mais je n’ose pas ; il a compris et me prenant la main il la pose sur sa braguette « fais la sortir si tu le veux » comme un automate, je le dégrafe et son pantalon tombe à ses pieds ; il est nu et sa queue me jaillit au visage ; c’est la première queue que je vois d’aussi près ; elle est décalottée et une goutte perle sur son méat ; elle me semble énorme par rapport à la mienne ; longue et charnue, une grosse veine bat sur son coté ; me prenant la main, il la dépose sur son sexe ; un courant me traverse le corps et soudain je n’ai plus qu’une envie :le branler ; maladroitement ,sans aucun doute, j’essaie de reproduire les mouvements de mes jeux solitaires et cela semble lui plaire ; écartant ses jambes, il libère une paires de couilles ,rondes , lourdes, pleine de semence sans doute ; me prenant par les épaules, il me fait mettre à genoux et je me retrouve la bouche à hauteur de son sexe « suce moi ! » pris de panique j’essaie de me relever mais il me maintient et pousse sa queue entre mes lèvres ; je n’ai pas le choix, il investit ma gorge ; je suis surpris par le goût de sa chaire ; j’avais peur d’un goût d’urine, je retrouve le goût de mes mains après que je me sois branlé ; finalement j’y prends goût et ma langue lui titille le méat ; à nouveau il s’enfonce , poussant au plus profond , mais je ne peux tout avaler et c’est à la limite de m’étrangler qu’il commence à me pistonner ; j’ai compris son envie et comme je le fais pour moi, je lui tiraille ...