Monstrueuse - Echanges de cadeaux
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
f,
h,
poilu(e)s,
laid(e)s,
amour,
revede,
photofilm,
Masturbation
hdanus,
journal,
lettre,
J’aurais pu noircir des pages et pages et raconter ma vie, mes pensées, mes désirs. Ça m’aurait probablement pris des jours, des mois, des années. Par chance il y avait aussi mon cahier-journal et, malgré toutes les imperfections inhérentes à ce style d’élucubrations, c’était un raccourci astucieux pour lui dévoiler ma vraie personnalité. Je suis donc retourné voir ma tante… j’avais encore besoin de photocopies. Annick allait découvrir d’un seul coup, d’un seul, mes mauvais côtés, mes rancœurs, mes ressentiments. Elle s’apercevrait à quel point je n’étais au fond qu’un sale vicelard, un petit obsédé, sans cesse à reluquer les nichons des filles. Elle serait probablement choquée et ne voudrait peut-être plus jamais me revoir… Et bien tant mieux !!! Dans ce cas, je faucherais la voiture du « pater » et je filerais à fond sur l’autoroute jusqu’à ce que je me plante, jusqu’à ce que j’en crève. Je méritais, après tout, une mort au moins aussi belle que celle de James Dean. Il y avait dans mon journal de véritables horreurs, et en particulier beaucoup de délires très masculins où de soi-disant grosses salopes avides se faisaient inévitablement empapaouter dans tous les sens et par tous les trous, par des tribus de satyres, et elles en redemandaient la bave aux lèvres, ces grosses cochonnes. D’ailleurs, les trois quarts de ce journal étaient consacrés à des délires purement sexuels. J’y mettais en scène la plupart des femmes que j’avais eu l’occasion de rencontrer, en général celles ...
... de mon entourage et plus rarement aussi de parfaites inconnues entrevues au coin d’une rue. On y parlait pas mal d’Elodie qui était depuis longtemps un grand sujet de fantasme et qui, par la magie de mes divagations et sous ses airs d’étudiante appliquée, était comme il se doit une vraie nymphomane sans cesse avide de sexe. Elodie, je l’avais vraiment soignée dans mes fantasmes, elle ne tenait pas en place et avait sans cesse le feu au cul ! Plus récemment on y parlait aussi d’Annick, quelques réflexions qui concernaient son journal et bien entendu ses très probables ’grosses envies sexuelles’. J’avais un peu brodé autour de son cahier : Par exemple vous vous souvenez le jour où j’avais piqué sa culotte et où je lui avais fait une bise un peu plus appuyée qu’à l’accoutumée, et bien je racontais qu’elle était immédiatement montée dans sa chambre et qu’elle s’était frottée comme une dératée en pensant à ma grosse queue : « Hummm Pascal, je n’en peux plus, baise-moi, embrasse-moi, baise-moi tout de suite, troue-moi avec ta grosse trique, ramone-moi, engrosse-moi, encule-moi. Je suis une petite salope et j’aime que tu m’baises ». Evidemment j’en rajoutais un peu. Même dans le cas peu probable où elle se serait effectivement enfermée dans sa chambre ce jour là pour se masturber, elle n’aurait jamais de la vie utilisé ces mots là. Oui mais quels mots avait-elle utilisé ce jour là ? Dire qu’après avoir consigné de pareils délires, je lui faisais des déclarations d’amour enflammées. ...