Monstrueuse - Echanges de cadeaux
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
f,
h,
poilu(e)s,
laid(e)s,
amour,
revede,
photofilm,
Masturbation
hdanus,
journal,
lettre,
... son bahut ou même dans une des salles de cours qui se trouvait un peu à l’écart, lorsque celle-ci étaient désertes, évidemment. Elle fantasmait sur des mecs et imaginait des situations. Et son imagination était parfois débordante. Lorsqu’elle jouissait, elle avait très souvent en tête l’image d’un sexe juteux crachant sans complexe des jets de foutre sur sa poitrine ou sur ses fesses. L’image du foutre coulant le long de son corps revenait toujours comme un leitmotiv dans ses fantasmes. Plus généralement, le sperme était pour elle une source d’excitation beaucoup intense que les chibres proprement dit. Cette substance la fascinait et elle rêvait sa première expérience comme un baptême où elle serait aspergée par cette divine liqueur. Alors que j’étais en train de photocopier mes documents, tout en veillant discrètement à ce que ma tante reste bien à l’écart, je regrettais déjà ma décision. Il y avait vraiment des choses très hard dans mon journal, des choses propres à choquer une jeune fille de bonne famille, certains et passages étaient loin de me mettre à mon avantage. J’allais passer auprès d’elle pour un vilain petit macho qui prenait toutes les filles pour des salopes, ou pour un obsédé du cul. Dans mes fantasmes ordinaires, toutes les nanas, et même les plus récalcitrantes, étaient forcément des vicieuses qui s’ignoraient et elles finissaient invariablement par se faire prendre de toutes les façons, et elles aimaient ça ces cochonnes, et plus que de raison, elles en ...
... redemandaient encore et encore. Il y avait aussi quelques paragraphes plus délicats : Dans l’un d’entre eux, j’expliquais comment je m’étais un jour auto-sodomisé avec un concombre bien huilé (mais c’était vraiment trop froid et je n’y avais pas vraiment pris plaisir !). C’est ce jour là que j’avais appris à mes dépends que l’huile ça laisse de sacrées taches dans les draps ! Et j’y racontais également mes branlettes en solitaire en pensant à un de mes potes. Un de mes potes m’excitait (pas Philippe, je vous rassure), Bernard qu’il s’appelait, et j’avais souvent très envie de lui. À chaque fois que nous étions côte à côte il fallait que je me fasse violence pour ne pas poser les mains sur sa braguette. Je m’imaginais en train de le branler ou à genoux devant lui en train de le sucer ou je l’imaginais devant moi, sur moi, face à face, en train de m’enculer. Depuis l’internat, au lycée, j’avais envie d’essayer, j’avais l’envie diffuse qu’un mec m’encule, j’avais envie d’une bite en moi. Un de mes plus grands fantasmes c’était qu’un type me sodomise devant une fille, sa copine ou la mienne. L’idée d’avoir une bite dans le cul, de sentir une bite au fond de mon cul, de sentir une grosse queue m’éclater le derrière… c’était jouissif. Annick supporterait-elle de sortir avec un mec qui rêvait de se faire trouer l’anus. Ne serait-elle pas définitivement choquée, horrifiée, traumatisée ? Bon nombre de filles se seraient enfuies à cette idée ! Je n’avais, comme vous pouvez vous en douter, ...