1. Monstrueuse - Echanges de cadeaux


    Datte: 11/08/2021, Catégories: f, h, poilu(e)s, laid(e)s, amour, revede, photofilm, Masturbation hdanus, journal, lettre,

    ... surtout pas envie que ce genre de chose se sache, et finalement plus trop envie non plus de lui dévoiler tout ça, c’était vraiment trop… disons trop personnel. J’ai failli retirer toutes ces pages compromettantes de mon envoi. Et j’ai bien passé un quart d’heure à essayer de faire le tri. Et puis non, finalement un coup de folie m’a pris et j’ai finalement glissé le tout dans l’enveloppe, abandonnant là toute tentative de sélection, et rajoutant en prime la petite culotte soigneusement lavée par mes soins. J’espérais qu’Annick tiendrait vraiment sa promesse et qu’elle me renverrait une autre culotte bien odorante par retour du courrier. Au dos de l’enveloppe, j’ai indiqué un expéditeur bidon, une société factice, de façon à éloigner les soupçons de ses proches et j’ai posté le paquet en URGENT. Après une dernière hésitation, je suis sorti de la poste, heureux et soulagé : « Maintenant, advienne que pourra ». Je me sentais comme ’libéré’ d’un lourd fardeau. « Annick… stop… bien reçu ce jour ton colis… vraiment sympa… merci beaucoup… stop… dois plancher ce soir pour un contrôle… promis j’le lis demain… stop… Et pour la petite culotte je ne sais pas si je pourrai aller à la poste demain… mais chose promise, chose due… Tu l’auras dès que possible… Smac… Annick » 24 heures de plus, c’était insoutenable. Le temps qu’elle me réponde, j’avais au minimum deux jours à attendre. J’aurais pu aller chez elle, mais je savais que c’était encore trop tôt, qu’elle le prendrait peut-être mal. ...
    ... J’attendais sa réponse, ses réactions face à mon journal, mais j’attendais surtout que notre relation progresse un peu plus loin… C’était ça qui s’imposait, ça et uniquement ça. J’avais tellement investi en elle, elle était tellement tout pour moi que ces longues heures d’attente étaient une torture insoutenable. Jamais plus je ne pourrais plus me passer d’elle une seule seconde, alors des heures entières vous pensez bien… Lorsque je fermais les yeux, je ne voyais plus aucune image érotique, je ne voyais plus qu’un gros « Je t’aime » qui scintillait sous le firmament de l’amour absolu. Vous dire à quel point j’étais malade. Malade d’elle, fou d’elle. Sans elle la vie n’avait plus aucun sens. « Annick, je t’en supplie, je meure d’amour pour toi. Annick, réponds-moi… Annick, Annick, Annick… comme ton prénom est doux à mon oreille… » Je n’avais plus envie de rien, plus envie de rien faire. N’en pouvant plus j’ai envoyé un autre petit mot pour qu’elle se rappelle à mon bon souvenir : « Annick, mon amour, Si tu savais à quel point tu me manques, si tu savais à quel point je t’attends, si tu savais à quel point tu m’es indispensable, à quel point je suis fou d’amour pour toi… ANNICK JE T’AIME, il fallait que je te le dise, tu es tellement importante pour moi » Le lendemain, elle répondit avant de partir en cours. « Sois patient, garde confiance… Moi aussi je t’aime. Et voilà, c’est fait, c’est dit. Evidemment que je t’aime. Smac, Annick » Et un petit dernier avant de partir à mon ...
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