1. Une famille sexuellement débridée (1)


    Datte: 11/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tripotes toi ? — Eh, oh ! Dis que tu m’as pas déjà maté quand j’me branle ? — T’es gonflé ! Le nombre de fois où tu laisses ta porte entrouverte pour exhiber ton gros zob ! — Tu le trouves gros mon zob ? — Ta gueule, fous le camp ! — Allez, laisse-moi regarder merde, toute façon j’vais mater derrière la serrure. Alors elle le laissa approcher. Il s’agenouilla à sa droite sur le rebord du lit. Toujours à ma place, profitant du bruit que faisaient mes parents, je me branlai fasciné par le gros gode qui allait et venait dans la chatte et les mouvements du bassin de ma sœur qui profitait du plaisir qu’elle se donnait. Depuis l’épisode des poils de cul, elle s’était laissé repousser les poils de la chatte qu’elle avait entretenus avec soin et qui dessinaient un triangle parfait. D’où il était, Gillou put allumer la lampe de chevet, et la lumière mit davantage en valeur les chairs boursouflées de la vulve qui engloutissait le nœud artificiel. Tout à coup, Gilles posa sa main gauche sur le sein gauche. Elle le dégagea violemment : ...
    ... — Bas les pattes gros porc ! Tu touches pas ! — T’as tort... comme ça tu pourrais tenir le gode à deux mains ou te toucher la chatte avec la main libre et moi, je te ferais du bien avec tes nichons. L’idée de se tripoter le frifri dut lui plaire car elle y porta aussitôt la main dont elle s’était servie pour chasser celle de mon frère. Il reposa aussitôt sa paluche sur le globe majestueux sans rencontrer de résistance. Il monta alors carrément sur le lit et me fit signe d’approcher. Je fis comme mon frère, tenant toujours ma bite dans la main droite, je posai l’autre sur le sein de ma sœur en imitant les mouvements de mon frère, calmes et doux ou rapides et sauvages sans compter les pincements qu’il pratiquait parfois. Le sein était gros, ferme et aussi agréable que de la soie et le téton était très dur. C’était troublant à l’excès, très agréable. L’excitation montait, je transpirai et sentis la la sueur humidifier mes aisselles. Le couloir raisonnait des cris de maman qui s’amplifiaient prélude à l’imminente extase. A suivre 
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