La nièce
Datte: 11/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
... rythme lent, comme si son seul but avait été de sentir ce moment où le bout de sa verge eût cogné dans les tréfonds de sa maîtresse. Puis ce fut, comme elle le lui supplia bientôt, le début d’un pilonnage en règle, bassin et corps détachés. Pas assez encore, jugea Jean Michel alors qu’Anaïs poussait des cris de plaisir à chacun de ses coups de boutoir. Alors il souleva ses jambes et les replia au-dessus d’elle, l’offrant davantage encore aux va-et-vient interminables de sa queue longue et épaisse. Lorsque finalement, après seulement quelques secondes de ce traitement, Anaïs poussa un long hurlement suraigu, tremblante comme une feuille, il continua méthodiquement son travail de sape, tant et si bien qu’il lui arracha un deuxième, puis un troisième orgasme en une poignée de minutes, chacun plus puissant que le précédent. Quand il quitta le sexe trempé, laissant la jeune étudiante tremblante et rose de bonheur, haletante, il était à peine essoufflé. Il lui laissa reprendre ses esprits, bien décidé à revenir, à lui extorquer encore des cris comme ceux qu’elle venait de pousser. Il lécha tout son corps, gobant ses seins, mordillant ses tétons avec autorité, insinua sa langue dans le nombril, embrassa l’intérieur des cuisses, plongea sa langue entre les lèvres encore gonflées, s’abreuvant de la source inépuisable qui semblait avoir enfin jailli de son con si longtemps négligé. Ses doigts s’amusèrent enfin à titiller son anus qui, trempé par le ruissellement, s’ouvrit lorsqu’il le ...
... força un peu. Elle poussa une exclamation de protestation qui ne fut suivie d’aucun geste pour l’en empêcher. Pendant qu’il suçotait son clitoris, son doigt allait toujours plus loin dans son fondement et alors lui prit l’envie irrépressible de la sodomiser, d’être son premier homme de ce côté. Il la tourna telle une feuille et elle se laissa faire, comme si elle l’avait espéré depuis le début. Mais, devant l’incroyable fessier, il ne prit pas tout de suite d’assaut l’orifice qu’il désirait. Après l’avoir aidée à se mettre à quatre pattes, il lui offrit une levrette courte et brutale, qui la fit s’envoler vers le plus puissant de ses orgasmes. Elle était encore chancelante lorsqu’il présenta son gland à l’entrée de l’anus. — Non… arrête… pas là… protesta-t-elle mollement tout en tendant sa croupe. Il ne la pénétra pas tout de suite, mais joua avec sa verge le long de la raie. Pour la première fois depuis le début de leurs ébats, il se sentit proche de jouir lui même : la manière dont elle bougeait sous son corps le rendait fou. Alors il s’accorda une pause, plongeant sa bouche dans la raie offerte pour lubrifier cette entrée. Lorsqu’il se redressa enfin, il savait que la dilatation était suffisante. Il força avec le gland, coupant momentanément le souffle d’Anaïs. À chaque centimètre qu’il gagnait, celle-ci poussait un cri grave, saccadé, qui lui vrillait l’esprit. Il n’était plus qu’une bête, en parfaite harmonie avec ce que demandait le corps mince qu’il écrasait presque de ...