1. Le bouclier massaï


    Datte: 12/08/2021, Catégories: ff, frousses, nopéné, humour, sorcelleri, québec,

    ... Marie. Pis, Paul, pauvre toi, t’as l’air tout piteux. Ça n’a pas marché avec ton docteur vaudou ?— Ben, raconta Pierrette, elle lui a donné un gri-gri, fait boire une étrange mixture puis elle a fait des prières… Mais…— Mais ?— Bien, pour qu’il guérisse, elle a dit que tu devais faire de gros efforts pour exciter ton mari.— Oh !— Et dès ce soir, sinon y guérira jamais.— Jamais ?— Jamais !— OK, fit-Marie, de gros efforts comme ce matin, j’imagine ?— Ah ! s’exclama Pierrette, c’est une bonne idée ça, mais pas sous la douche, on en sort. Pogne-moi don’ une boule pour voir. Marie but une gorgée de vin, étira le bras en me fixant, les yeux luisants arborant un sourire de gamine espiègle et pressa le sein droit de Pierrette toujours en chandail à col roulé. La tante, assise bien droite sur sa chaise bomba le torse. Je bandai à une vitesse stupéfiante. En même temps, comme convenu, Pierrette glissa la main sous la table et pressa mon sexe gonflé. — Pis ? demanda Marie dont la pointe des seins apparaissait soulevant le tissu léger de sa robe.— Non, fit Pierrette, ça marche pas. Marie lâcha le sein de Pierrette dont le mamelon pointait aussi à présent, lui prit la main droite pour la rentrer dans son décolleté en me fixant. Je fixai la main de la tante qui palpait la poitrine dema blonde qui rougissait en me souriant. — Pis là ? demanda-t-elle.— Non ! répondit Pierrette en retirant sa main de la robe. Il va rester impuissant, le pauvre Paul.— Ben là, fit Marie, si un gars ne bande ...
    ... pas en regardant deux belles femmes se pogner les boules… ça va mal.— Donne-moi un bonfrench, ma grande. Têtes penchées elles approchèrent leurs visages l’une de l’autre, langues sorties et s’embrassèrent à pleine bouche tandis que Marie me regardait d’un œil en pressant à nouveau les seins de Pierrette et celle-ci lui rendait la politesse, mais par-dessus la robe cette fois. Je fis de mon mieux pour ne montrer aucune émotion, mais la tante pressait toujours ma queue sous la table et elle était si tendue qu’elle me faisait mal et que j’avais l’impression qu’elle allait faire exploser ma braguette. — Pis ?— Toujours rien, mentit Pierrette.— Bon, fit Marie en se levant tout encalant sa coupe de vin, on va lui faire le grand jeu, ma tante.— Bonne idée, ma grande, fit celle-ci en se levant également, faut que je te montre mes beaux tatouages au henné. La doctoresse vaudou m’a fait ça pour me protéger des mauvais esprits pendant la cérémonie.— Oh ! lâcha Marie les yeux pétillants en se débarrassant de sa robe en un clin d’œil, je veux voir ça ! Elle portait des dessous en dentelle noire et des bas à large bande élastique aux cuisses. Une pure merveille, une vraie bombe et je l’avais épousée. Ma main tremblait tandis que je buvais en les fixant déjà fou de désir. Les deux femmes se déshabillèrent côte à côte comme le font les filles quand elles veulent nous exciter : lentement en me jetant des regards espiègles, ondulant des hanches en retirant leur slip, étirant les jambes pour ...
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