La reine de Lautrec
Datte: 12/08/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
jardin,
école,
voyage,
voiture,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
champagne,
yeuxbandés,
fouetfesse,
humour,
... les affaires.— Tu sais, Philippe, quand maman dit qu’elle fait réchauffer les affaires, c’est encore meilleur qu’au départ.— En tout cas, Odette, merci pour tout, lui dis-je en conclusion. Odette embrasse sa fille avant de partir et en fait de même avec moi. Un sacré morceau de femme. Je reste seul avec Mélanie. Pour la première fois je la vois avec une jupe et un tee-shirt. Je lui en fais la remarque : — Oui j’étais obligée, me répond-elle. J’aurais bien mis un short comme tu les aimes, mais on ne peut pas rentrer dans une église en étant habillé comme ça.— Tu as raison, mais tu es peut-être encore plus belle en jupe. Mélanie m’entraîne vers le porche d’entrée de l’église. En levant les yeux au ciel on aperçoit le Jacquemart : — C’est un des six points remarquables de l’église, me dit-elle, avant de poursuivre : — Tu as bien appris ta leçon, mais tu aurais pu attendre qu’on soit à l’intérieur pour tout me dire.— Tu m’as dit hier soir qu’on avait plus qu’une vie à rester ensemble, car on avait deux heures pour faire l’amour. Maintenant on a encore plus, on a deux vies… car on a une heure et demie pour visiter la ville…— Copieuse. Comme là où nous sommes, personne ne peut nous voir, j’en profite pour donner une grande claque sur les fesses de Mélanie, mais sur sa jupe bien évidemment. Il faut savoir se tenir à proximité immédiate d’une ancienne cathédrale. C’est ce que je m’empresse de lui expliquer : — J’adore claquer les fesses d’une belle femme quand l’occasion se ...
... présente… et que personne ne me voit…— …— Mais j’adore aussi claquer les fesses d’une jeune et belle agricultrice comme toi… tu as dû t’en apercevoir ce matin.— Je crois que j’ai affaire à un garçon obsédé.— Obsédé par les belles fesses ? Peut-être, si c’est toi qui le dis… Nous rentrons dans l’église qui est magnifique, mais qui n’est pas en très bon état. Mélanie m’explique que la municipalité envisage de faire de grands travaux de rénovation et que l’église sera peut-être fermée pendant quelques années. Après un dernier coup d’œil admiratif aux peintures et au buffet d’orgues en particulier, nous sortons quelques instants avant sept heures pour regarder et écouter le Jacquemart frapper la cloche. Un moment émouvant ; j’adore ce genre d’automate qui donne l’heure. Une fois les sept coups frappés, Mélanie me demande : — Prends-moi par l’épaule, on va faire le tour de la cathédrale à pied… Derrière, il y a l’Agout et de très beaux jardins.— C’est dommage que ta mère ne soit pas restée avec nous, elle a l’air sympa.— Oui, mais comme elle te l’a dit, il faut qu’elle fasse manger papa.— C’est un tyran ?— Non, c’est quelqu’un qui a ses habitudes. Je glisse mes doigts dans la jupe de Mélanie. J’aime le contact direct avec sa peau et sentir le haut de ses fesses fermes à souhait quand elle marche : — Mais Philippe, si on nous voyait ? me dit-elle sans beaucoup de conviction.— À l’instant où nous sommes, je m’en fous complètement… mais vraiment complètement. Ce contact charnel avec Mélanie, ...