1. La reine de Lautrec


    Datte: 12/08/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, jardin, école, voyage, voiture, amour, Masturbation Oral pénétratio, champagne, yeuxbandés, fouetfesse, humour,

    ... m’excite au plus haut point. Si Mélanie a pu avoir un bel orgasme ce matin, il n’en a pas été de même pour moi, faute de temps. Et maintenant j’ai un gros manque : — Si je pouvais te violer comme un sauvage, là, ici, sur le champ, je le ferais tout de suite sans hésiter, affirmé-je à Mélanie.— Ce ne serait pas un viol, tu t’en doutes.— La journée a été longue pour moi.— C’est normal : ce matin tu t’es occupé de moi, et toi tu es resté « en plan », me réplique-t-elle, très décontractée, comme une spécialiste de la question.— Mais rassure-toi, comme je ne suis pas un bonobo, je suis capable de patienter un moment. On fait le tour de la cathédrale par une petite terrasse qui donne sur l’Agout. La vue est magnifique, et comme il y a un petit barrage un peu plus bas, on entend très nettement le bruit de l’eau. C’est très décontractant. Voyant au loin le jardin de l’archevêché avec des bancs et un petit bosquet le précédant, je pose la question à Mélanie : — Tu préfères qu’on s’embrasse contre un arbre ou sur un banc plus loin dans le jardin ?— Caché contre un arbre : comme ça, tu pourras faire ce que tu veux avec moi. Nous nous dirigeons vers le petit bosquet. Je plaque Mélanie contre un arbre. Elle m’embrasse avec passion mais, avec sa main, se dirige vers mon pantalon. Elle sent que je suis excité au maximum et que j’ai besoin d’être soulagé. Sans que je la sollicite, elle regarde tout autour d’elle, déboutonne mon pantalon, se met à genoux et fait sortir mon engin qui ne ...
    ... réclame que cela. — Personne ne nous peut nous voir ? me demande-t-elle.— Non, je ne pense pas, les gens sont très loin… mais s’il y a un problème, je te le dirai. Mélanie fait de son mieux, avec beaucoup de féminité et de sensualité. C’est formidable. Je ne maîtrise plus rien. Je sens mon plaisir qui monte inexorablement. Je tapote sur la tête de Mélanie pour lui faire comprendre que je ne peux plus vraiment me retenir, mais elle continue son merveilleux travail. Je ne cherche pas me retirer de sa bouche. Soudain, je pars. Je suis gêné d’avoir joui comme cela, sans réellement la prévenir, mais je n’en pouvais plus. Je ne sais pas si Mélanie était d’accord ou pas. Maintenant c’est trop tard. Elle me fait un dernier gros bisou sur mon engin enfin soulagé qui vient de perdre de sa superbe, puis je me rhabille gauchement, ne sachant pas très bien quoi dire. — Merci Mélanie, c’était trop bien… mais je n’ai pas pu me retirer à temps.— Ne t’inquiète pas, je te t’ai rien demandé, me répond-elle, particulièrement décontractée…— …— C’était à mon tour de penser à toi… Je voulais te donner beaucoup de plaisir… Maintenant c’est fait… Avec toi je deviens une vraie femme…— Merci pour le compliment.— Maintenant on va continuer notre balade. Maintenant je me sens mieux, beaucoup mieux. Faire le tour de la ville avec mes mains en contact direct avec la peau de Mélanie n’est pas pour me déplaire. Nous faisons notre tour en passant par la Tour des Rondes, dernière trace des anciennes fortifications ...
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