1. Un peu pute à l o ccasion


    Datte: 13/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... d'ironie qu'il y avait eu du frais et des nuages et que l'été indien sans doute touchait à sa fin. En même temps je lui rappelais qu'il avait à discrétion aussi une jeune et jolie femme. Je me prenais ainsi au jeu. Je l'allumais. Je n’osais le relancer sur son neveu lui montrant mon impatience. Il m’informât pourtant que ce dernier était en vacances. Qu'il reviendrait sous dix jours. Je rongeais mon frein. Cela tournait à l'obsession.Aussi eus-je une attitude peu de jours après dont j'ai honte encore ne sachant comment l'expliquer. Le soleil revint un matin. En cette fin septembre le mercure touchât aux trente degrés le midi. En un tour de main, je vins rejoindre mon petit coin me délestant à la fois de ma culotte et de mon haut. L'Eté tirait à la fin. Je devais mettre cela à contribution pour parfaire et finir le bronzage et tant pis pour le voisin s'il voulait se rincer l’œil. Je fus certaine qu'il devait me mater. J’adoptais ainsi des poses plus lascives que les autres. J’offrais mon cul avec délice et gambadais des pieds.J'excellais à ce jeu. Cela m'excitait. A Lacanau j'en avais eu si peu l’occasion. Mon voisin avait droit de s'amuser. J'avais droit de lui concéder ces miettes de mon plaisir. Il devait se branler le cochon. Je songeais à ce que pouvait être sa queue. Lourde et épaisse. Le soir même en ses textos j'eus la conviction qu'il avait bel et bien reluqué. Que cela l'avait transporté. Il me dit sans ambages qu'à la veille du retour du neveu il voulait m'offrir à ...
    ... déjeuner. Je crus devoir ne pas refuser. Le poisson était ferré. J'étais assurée maintenant de rencontrer et de dealer avec ledit neveu.Il fit beau ce jour-là. Je me maquillais au point de ressembler à une pute. Ma robe était courte et transparente. J'avais adopté un string dont la base au tout devant était translucide laissant voir assez de la chatte. De toute manière le voisin savait tout de mon anatomie. Je n'avais plus de secret pour lui. J’avais envie de plaire. Cela tombait sur lui. Ne lui étais-je pas redevable ? Il ne put en cela réprimer un sifflement d'admiration. Il ajoutât à mon bonheur lorsqu'il parla de m’emmener à la gargote près de la rivière. Je savais que celle-ci excellait dans les plateaux de fruits de mer.Il avait eu son neveu au téléphone. Il m’expliquât avec un sourire mystérieux que ce dernier lui était débiteur de pas mal de choses. Bref il ne ferait pas de manière à mon encontre. En outre il avait ajouté : « Madame est une bonne amie. Je ne veux pas la décevoir. » Je pris cela pour moi. Cela voulait dire qu'en retour je ne pouvais, je ne devais le décevoir lui aussi. J'eus alors un petit geste à son égard. Affectant que ma sandale ouverte et à talon me fit si mal, j'en extirpais le pied et sans façon le massait devant lui. Il s'exclama goguenard et avec ravissement: « O le joli pied ! »L'idée me traversât que mon mari me battait froid depuis trois jours. Il ne m'avait guère baisé. J'avais envie de queues. Cela aussi m'était du. J'estimais avoir droit ...
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