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Un peu pute à l o ccasion
Datte: 13/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
J'ai une partie du jardin attenant au pavillon qui demeure à l'abri des regards. Le soleil y chauffe un morceau de pelouse et une petite allée aux alentours de onze heures. Ainsi ai-je eu l'idée qui pourra paraître saugrenue de m'y vautrer et bronzer durant une heure. Je trouvais à propos a cette mi- septembre de parfaire un bronzage sur le corps qui m’avait été compté au cours de cette année. Nous n'étions partis que quinze jours à Lacanau en Juillet et la météo y avait été atroce. Bref de notables parties de mon anatomie accusaient encore une blancheur morose. Je rêvais d'y remédier.C'était une époque particulière. J'entamais un trimestre de chômage. Finalement c'était le bienvenu. Je pris cela comme un répit. Je n'étais pas mécontente qu'on m'eût foutu dehors. Mes indemnités étaient rondelettes. Mon mari et toute la famille s'employaient à me trouver un vrai et autre job. Je trouvais délicieux qu'on fut aux petits soins pour moi. L'infortune a du bon. Cependant j'avais sous-estimé que mes journées pussent être longues et oisives. J’emmenais les mômes tôt le matin. J'expédiait le ménage. Je réservais les courses pour la fin d'après-midi. La vie était belle.Mon seul chagrin fut qu'Eric mon amant ait rompu peu après que j'eus quitté la boîte. Ne dit-on pas loin des yeux loin du cœur. Le petit saligaud aussitôt que j'eus tourné les talons s'était jeté sur une petite stagiaire. Une collègue m'en avait informé. J'étais écœurée des hommes. Je ruminais de vagues idées de ...
... vengeance. En effet j'étais assurée à cette époque que mon mari lui aussi fricotait de son côté. Belle époque ! Bref mon bronzage à parfaire constituait comme un pis aller, une consolation pour la jeune et jolie femme que j'étais. Le miroir me renvoyant une image impeccable.Il me prit fantaisie en mon coin de jardin de m'offrir nue à l'ardeur du soleil. J'enduisis le corps avec force crèmes. J'étais résolu à ratt****r le temps perdu. A mon grand dam mon homme avait eu l'effronterie de ne s'apercevoir de rien. Du moins de l'affecter. Il me bourrait ainsi le cul hâlé et non plus pâle comme avant. Quel goret dis-je ! Il me saute et n'a cure de mon nouveau bronzage. Je fulminais. Qui plus est c'est moi qui requérait toujours la baise. Monsieur s'exécutait machinalement. Manifestement il réservait à sa maîtresse, son énergie. Quelle humiliation !J'en étais à ce dépit lorsqu'un jour vers midi j'entendis venant d'en haut une voix qui m'était familière. Il faut dire que je venais à cet instant de retirer le casque du baladeur de mes oreilles. Je levais la tête et sursautais. Quel fut l'étonnement de découvrir dans la partie supérieure du mur de la maison voisine me surplombant, une sorte d'ouverture que j’avais toujours ignoré. Il s'agissait en fait d'une sorte de fente tel qu'on en trouve dans certains châteaux-fort. Y passait à présent la tête et la face ahurie du voisin. Il souriait et me faisait signe. Je distinguais à peine ses propos.Je mis un temps à réaliser que j'étais à poil et ...