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Un peu pute à l o ccasion
Datte: 13/08/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... m'offris en spectacle sous ses yeux. Pour qui me prenait-il ? Il dut s'apercevoir un peu de sa gaffe. Le lourdingue à ma mine rembrunie tâchât maladroitement de se ratt****r. « Une jolie femme comme vous. Ça doit s’entretenir. Votre mari a de la chance. Profitez bien de l'été indien. Vous avez du loisir. Vous ne faites de mal à personne. Bien au contraire. » Il ponctua ces derniers mots d'un sourire sadique. Je l'aurais volontiers giflé. N'empêche sa belle boîte américaine me tentait.Je dus me radoucir. Je lui versais un énième Ricard. Obligée de suivre la tête me tournait déjà. Je m'esclaffais telle une idiote de ces pataudes plaisanteries. J'encourageais le sot. Il vit bien que la proposition du neveu me séduisait. D'un ton sentencieux je finis par dire : « Vous savez je ne crois pas que vos américains s'enticheront d'une secrétaire tel que moi. » Il bondit sur sa chaise jurant les grands dieux que son neveu faisait là-bas la pluie et le beau temps. Il voulut sur le champ l'appeler. Je protestais. Rien ne pressait. Je rêvais d'Amérique. Je me voyais voguer sur des nuages.Bref au bout du compte, je dus lui concéder à ce cochon qu'il avait été drôlement sympa de songer à moi et même si cela ne marchait pas je lui en serais toujours redevable. Du coup, il prit un ton patelin et regardât impunément ma cuisse. Il proféra alors ces mots sans appel : »Je vous fais confiance. Vous trouverez sûrement comment me remercier. »J'avoue, je rougis. Je regrettais d'avoir abordé à une ...
... pente si glissante. Je cherchais déjà un chemin de bifurcation. C'est à cet instant qu'il revint au mari. « Ne lui en parlez pas. Il nous en voudrait. Je sais bien qu'il ne peut pas m'encadrer. »La colère contre mon conjoint me revint. Je rugis. « N'ayez crainte. Ce sont mes affaires. Je ne compte pas sur lui pour m'en sortir. Je ne vois qu'une chose. C'est que vous voulez m'aider. » Mon gendarme était aux anges. Il était assuré ce jour-là qu'une vraie complicité s'instaurait entre nous. Nous échangeâmes nos numéros de téléphone et adresses mail. Je le raccompagnais. Je perçus un peu de son regard sur mes formes. Je ne fus pas peu surprise de me dandiner roulant du cul ainsi que je fais souvent en vacances au su de mâles libidineux et mateurs. C'est mon côté salope.J'eus honte peu après. Ce con va se mettre dans l'idée que je suis une femme facile. Je me représentais aussi que mon mari et Eric m'avaient tous deux abandonné. J'avais envie que ma vie reprenne un autre sens et cours plus glorieux. Décrochez ce job serait la solution. Cela clouerait le bec aux médisants et au mari. Je ne pouvais plus concevoir que ce poste m'échappât. Curieusement je me prenais à croire à l'optimisme du gendarme. Je pourrais faire l'affaire. Ce neveu m'appuierait. Les jours suivants nous échangèrent mails et textos. On eût dit deux amoureux.A ma surprise il excellait davantage à l'écrit qu'à l'oral. Avec humour il déplorât que j'eus renoncé maintenant au bronzage. Je lui rétorquais avec non moins ...