Les obsèques de Bernard Cordier
Datte: 13/08/2021,
Catégories:
fh,
fépilée,
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Oral
nopéné,
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Représenter son entreprise aux obsèques d’un collègue, ce n’est pas très excitant mais l’histoire que je vais vous conter peut faire vous changer d’avis. C’était il y a un an. Mon collègue Bernard Cordier était mort subitement d’un infarctus. En pleine réunion de travail, il s’était levé brusquement, les mains agrippées à sa poitrine et s’était écroulé sur la table, mort. Les secours n’avaient rien pu faire. Étant son plus proche collaborateur, je m’étais proposé pour représenter notre entreprise à ses obsèques. Celles-ci se déroulaient dans son village natal à une cinquantaine de kilomètres au sud de Paris. J’étais parti tôt car la messe débutait à dix heures. Sur place, j’avais confié la couronne de fleurs aux employés des pompes funèbres et rejoint le groupe qui pénétrait dans l’église. Il y avait une trentaine de personnes. Marianne, la femme de Bernard et ses deux enfants, les parents, le frère et sa femme, quelques cousins, et des amis. L’ambiance était plombée, je me mis au diapason en baissant la tête. La cérémonie fut émouvante, le frère de mon collègue fit la lecture de passages de la bible. Intérieurement, je souriais car Bernard était un joyeux fêtard, gros mangeur, gros buveur, et ne se privant pas, à l’occasion de nos déplacements en province, de tromper sa femme avec des putes de luxe que nous sélectionnions sur Internet avant de partir. Pourtant, Marianne était magnifique. C’était une belle bourgeoise blonde aux yeux bleus, grande et mince. Les cheveux longs ...
... et fins, la poitrine généreuse, les fesses hautes. Lors de soirées organisées par notre entreprise, j’avais pu secrètement l’admirer. Nous n’avions jamais échangé que deux ou trois phrases banales. Marianne était discrète, effacée derrière son mari, mais je la trouvais terriblement bandante, vêtue avec classe, un brin sexy. Avant d’entrer dans l’église, j’avais pu détailler sa tenue. Elle portait un tailleur noir à fines rayures grises. La jupe, qui s’arrêtait aux genoux, épousait ses formes pleines et était fendue devant. Ses jambes étaient gainées de nylon noir à couture et ses pieds étaient chaussés d’escarpins vernis noirs à talons hauts. La veste boutonnée masquait le haut de ses fesses et laissait apercevoir un corsage noir en soie boutonné jusqu’en haut. La belle veuve avait relevé ses longs cheveux blonds en un strict chignon. Elle portait sur sa tête un petit chapeau noir recouvert d’un voile de crêpe noir transparent qui couvrait son visage éploré. Elle portait enfin une paire de gants noir brillant. Je la trouvais absolument craquante et me sentais excité. La messe prit fin et tout le monde sortit de l’église. Marianne, accompagnée de ses deux enfants, émergea sous le soleil. Elle reçut les condoléances de l’assistance, dignement. Mon tour arriva et je me présentai face à elle ; je vis ses beaux yeux bleus humides derrière le voile et un timide sourire. — Merci d’être venu, Richard, me dit-elle. Je sais que Bernard et vous étiez très proches.— C’était un véritable ...