1. Les obsèques de Bernard Cordier


    Datte: 13/08/2021, Catégories: fh, fépilée, voiture, intermast, Oral nopéné, consoler, occasion,

    ... ami, Marianne. Sachez que je suis à votre entière disposition.— Merci, dit-elle en baissant les yeux. Tout en lui adressant les condoléances au nom de l’entreprise, je matais discrètement sa poitrine généreuse qui tendait agréablement la soie de son chemisier noir et les pans de la veste de tailleur puis je m’éloignai de quelques pas. Le personnel des pompes funèbres sortit le cercueil et l’engouffra cérémonieusement dans le corbillard. Autant Marianne restait digne, toute en retenue, autant sa fille Mélanie, âgée de dix-huit ans, laissa exploser sa peine. Elle cria « Papa ! » et se mit à pleurer. Sa mère la consola dans ses bras, puis la confia au frère du défunt, Gilbert. J’étais resté à proximité, alors que le reste de l’assistance, pudiquement, s’était éloigné afin de gagner les voitures pour suivre la procession jusqu’au cimetière. Gilbert s’adressa à sa belle-sœur : — Marianne, je vais prendre Mélanie et Olivier dans ma voiture. Tu peux monter avec les grands-parents, proposa-t-il. La veuve hésita un instant. Manifestement, elle n’avait pas envie de laisser ses enfants, et encore moins de se retrouver avec ses beaux-parents. Je m’avançai : — Si vous le souhaitez, je peux vous proposer ma voiture, Marianne, je suis garé juste derrière. Elle hésita encore, puis avisant ma main tendue, accepta : — Merci, Richard, ça ne vous dérange pas ? demanda-t-elle poliment.— Non, bien sûr que non, répondis-je, ça me fait plaisir. Elle prit mon bras et nous nous dirigeâmes vers ma ...
    ... Jaguar. Ma voiture est une X-type, berline sportive, confortable, sellerie cuir. J’ouvris la portière à ma passagère qui prit place ; elle tendit ses jambes en faisant remonter sa jupe et je pus apercevoir lors d’un fugace instant une bande de peau nue au-dessus du nylon noir. Marianne portait des bas ! Vision fugitive qui fit instantanément grossir ma queue dans mon boxer. La belle s’assit dans le siège en cuir et tira le bas de sa jupe sur ses genoux. Je contournai la voiture et m’installai au volant. J’avisai le corbillard qui démarrait lentement et prit sa suite. Le cortège devait se rendre au crématorium distant de quelques kilomètres, dans la ville voisine. Marianne s’était emparée d’un mouchoir et, soulevant son voile, le porta à ses yeux. Elle pleurait silencieusement. Je n’osai rien dire mais je lâchai le volant pour tapoter son genou gauche gainé de noir. La veuve ne réagit pas. Alors je laissai ma main posée sur le genou immobile. Elle baissa son mouchoir et se tourna vers moi : — C’est vraiment gentil d’être venu, merci Richard, dit-elle.— Pas de quoi, Marianne, répondis-je, tout en laissant ma main sur le genou de ma passagère.— Je suis tellement nerveuse, je n’ai pratiquement pas fermé l’œil, cette nuit.— Oui, j’imagine ! Profitez de l’instant, détendez-vous.— Oui, merci. Marianne ferma les yeux et s’enfonça un peu plus dans son siège, faisant glisser ses fesses. Sa jupe se retroussa de quelques centimètres, dévoilant le bas de sa cuisse. J’y fis glisser ma main, ...