1. Les obsèques de Bernard Cordier


    Datte: 13/08/2021, Catégories: fh, fépilée, voiture, intermast, Oral nopéné, consoler, occasion,

    ... voilette se soulever au rythme de sa respiration saccadée. La main droite agrippée à la mienne, elle faisait aller et venir mes doigts dans sa chatte détrempée. Les grilles du cimetière apparurent sur la droite. J’enclenchai le clignotant et m’engageai sur le parking tandis que le corbillard s’engouffrait lentement à travers les grilles ouvertes. Marianne soudain se cambra en arrière et poussa un cri de jouissance, mes doigts enfoncés à mort dans sa chatte ruisselante. Elle resta ainsi, le souffle coupé, pendant plusieurs secondes, puis elle s’effondra sur le siège comme une poupée, libérant ma main. Excité, je portais mes doigts à mes lèvres, savourant cette mouille divine. Je me garai un peu à l’écart alors que les autres voitures commençaient à se ranger près des grilles. Je coupai le contact et baissai ma braguette pour entamer une masturbation. Marianne, qui avait recouvré ses esprits, tirait sa jupe sur ses genoux. Elle me vit et s’écria : — Mon dieu, Richard, je dois vous remercier pour ce que vous m’avez fait, mais… vous êtes dans un état !… Je veux dire, je crois que je n’en ai jamais vue d’aussi… grosse ! Il est vrai que j’étais tellement excité que ma queue dépassait largement de la ...
    ... main qui la branlait. Le gland imposant et décalotté était d’un rouge luisant et des gouttes perlaient au méat. Encore une fois, Marianne me surprit. Elle releva prestement sa voilette, et, repoussant ma main pour empoigner ma queue à son tour, elle se pencha en avant et emboucha mon gland. Elle se mit à le téter goulûment. Déjà très excité, je ne résistai pas à cette caresse buccale diabolique. Je me laissai gagner par la jouissance et je sentis bientôt les bordées de sperme gicler entre les lèvres de la belle veuve. Celle-ci les avala une par une, consciencieusement, sans lâcher prise une seule seconde, jusqu’à ce que ma bite ramollisse dans sa main gantée. Puis, elle releva la tête et baissa sa voilette. — Dans l’état où vous étiez, vous n’auriez pas pu descendre de votre voiture, dit-elle.— Effectivement, Marianne, répondis-je en souriant. À moi donc de vous remercier de votre aide précieuse. Je descendis de voiture après m’être rhabillé et allai lui ouvrir la portière. Comme si rien ne s’était passé, la somptueuse veuve sortit dignement, sans tourner la tête vers moi et se mit à marcher lentement vers sa famille, qui l’entoura et l’entraîna lentement vers le cimetière où je la perdis de vue. 
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