Harem
Datte: 13/08/2021,
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Dans la zone rouge,
... dix étés à peine, du côté droit d’une longue table à l’épais plateau de bois dans les quatre coins de laquelle était fixé un anneau de fer. Les deux garçons leur faisaient face de l’autre côté de la table. Aux quatre filles les gardiens avaient coupé les cheveux ras sur leurs têtes, et avaient complètement rasé leurs aisselles et leur toison pubienne. Les deux garçons étaient eux entièrement rasés, y compris leurs sourcils. Même les cils à leurs paupières avaient été coupés, les rendant d’un aspect très semblable à celui des gardiens. Tous les six se tenaient nus dans la lumière des lampes à huile qui pendaient du plafond au-dessus de la table et laissaient dans l’ombre la grande pièce autour d’eux. Leurs gardiens avaient rejoint dans l’ombre une dizaine de leurs semblables alignés contre le mur du fond. Seule la fillette s’agitait, se penchait ou tournait la tête pour regarder autour d’elle, souriait aux filles à ses côtés et aux garçons en face d’elle quand elle croisait leur regards. Eux, comme les trois jeunes filles restaient figés, noués d’angoisse et de crainte, de peur, à ne rien savoir du sort qui les attendait. Leur attente durait dans un silence pesant et la fraîcheur de la salle faisait naître des frissons et piquait leur peau de froid. La fillette s’amusait des tétons durcis d’Ellinn en les montrant du doigt en riant. Tous se sont tournés vers la porte quand sont entrés dans la salle l’homme le plus gros qu’aucun d’eux n’ait jamais vu qui avançait comme en ...
... glissant accompagné d’une femme au visage sévère et à la peau noire qui le dominait de sa taille. L’un et l’autre étaient impressionnants, chacun de manière différente. L’homme souriait et plissait les yeux en dévisageant longuement chacun d’eux, tapotant sa poitrine d’une longue lame d’argent qui brillait à son doigt, la femme se tenait immobile, les traits figés, les bras croisés sous sa poitrine, mains noyées dans les manches de sa tunique d’un rouge violent. Sadar a frappé dans ses mains : — Gardiens ! Purifiez-les ! Venant du fond de la salle, deux gardiens se sont approchés de chacun les jeunes-gens. L’un portait une outre gonflée à l’épaule et un seau à la main. Le second des deux, à Lysia comme aux autres, d’une main sur son ventre et l’autre dans son dos, l’a faite se pencher sur la table pour y allonger son torse puis lui a écarté les jambes. Un contact froid entre ses fesses, un doigt qui massait, un objet dur qui perçait son anus et une sensation de froid … le premier gardien pressait sur l’outre à deux mains, forçant l’écoulement dans les intestins de Lysia du liquide de l’outre qui produisait ce froid dans son ventre qu’elle sentait se gonfler. Elle appuyait son front sur ses bras repliés devant elle et fermait les yeux, les joues brûlantes de honte. L’outre étant vide, la canule a été retirée, aussitôt remplacée d’un objet plus gros qui a arraché un cri de douleur à la fillette à côté de Lysia. Son gardien a redressé Lysia qui baissait les yeux sur son abdomen ...