Harem
Datte: 13/08/2021,
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Dans la zone rouge,
... fillette. Lysia a passé un bras sur ses épaules et a caressé sa joue. Le gardien a rabaissé les jambes de Malika et les a laissées pendre dans le vide. Sadar basculait vers le bas l’extrémité de l’olisbos qu’il serrait de sa main, faisant levier au bord de la table, déformant les minces cloisons et faisant saillir les chairs étirées du sexe dont il écartait les lèvres à deux doigts, la lame de son index affûtée comme un rasoir frôlant dangereusement le ventre : — Intacte. Il a retiré le phallus d’ivoire d’une traction, arrachant un nouveau cri de douleur à Malika, invitant dame Alyse à contrôler à son tour la virginité de Malika, ce qu’elle a fait en vérifiant d’un doigt l’intégrité de l’hymen : — Intacte. Rejoins ta place. C’était au tour d’Ellinn. Avant même la fin de l’examen de Malika, Ellinn avait commencé à s’agiter, jetait des regards inquiets autour d’elle, cherchait réconfort auprès de Lysia d’un regard suppliant. La douce Ellinn, si gaie et rieuse qu’elle rencontrait souvent au village ou dans les collines s’est approchée du bout de la table tête basse, les joues marquées de grosses larmes. Dans le lourd silence de la salle, Lysia a entendu son murmure … « mon père … il était saoul … ». Sadar et dame Alyse avaient un visage de marbre. Elle s’est assise du bout des fesses au bord de la table, et comme Malika avant elle, a crié de douleur. — Impure. Dame Alyse a confirmé le jugement de Sadar : — Impure. Sadar a claqué dans ses mains et annoncé à voix forte : — Nous ...
... te faisons servante ! Effervescence dans la salle. Plusieurs gardiens approchaient, s’affairaient autour d’Ellinn et de la table, sans heurts, le silence n’étant rompu que des sanglots et des gémissements d’Ellinn. En quelques minutes à peine, quand les gardiens ont reflués vers le fond de la salle, Lysia et les autres ont découvert Ellinn allongée sur le dos, les mains liées par des cordes aux anneaux de fer au haut bout de la table, d’autres cordes au-dessus des genoux attachées aux anneaux du bas de la table maintenaient les jambes ouvertes à un angle impossible. Un épais rond de bois sous ses fesses arquait son corps, soulevait son bassin faisant saillir en pointe les os des hanches et le bombé du Mont de Vénus de son ventre creusé. Ellinn pleurait, répétait sans arrêt en sanglotant « il m’a violée … il m’a violée … ne me faites pas de mal … je vous en supplie …». Deux gardiens s’affairaient à hauteur de sa poitrine. Sadar murmurait à l’oreille de La femme noire. Lysia voyait les yeux voilés de la femme, ses lèvres se pincer, son cou se raidir ; elle regardait droit devant elle, a sèchement hoché la tête. Sensible à la litanie de suppliques d’Ellinn, la fillette s’était réfugiée dans les bras de Lysia, entourant sa taille de ses bras et sa joue appuyée contre son ventre, dos tourné à la table. Dame Alyse étirait les tétons d’Elinn et deux gardiens nouaient à la base des seins un lacet qu’ils serraient pour les faire gonfler en excroissances obscènes dont la peau violaçait ...