Harem
Datte: 13/08/2021,
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Dans la zone rouge,
... les deux voiles roses-brun, suivant les plaques serrées, coupé tout autour en tournant autour du bouton le capuchon que la femme étirait, ôté les chairs tranchées. Elinn suffoquait, pas encore de douleur sous la pression des plaques, ou de trop de douleur et d'horreur étouffant son cri, les yeux voilés, comme étrangère à son corps. Un gardien a tendu une lame à la femme qui tenait le bourgeon de deux doigts. Elle a tranché en montant, le bouton et la tige étirée très haut, et Ellinn râlait, un linge enfoncé dans sa bouche et les yeux agrandis de terreur, de douleur, d’incrédulité. Sadar a enfoncé dans le vagin un olisbos court avec deux cornes à son bout extérieur qui remontaient autour de la plaie pour maintenir les lèvres du sexe écartées quand le gardien a retiré les deux plaques de bronze. Une plaie. Une plaie béante, immonde, indécente … horrible, indicible … et le flot de sang … la pâte odorante et brune dessus. Lysia avait laissé glisser la fillette au sol, recroquevillée à ses pieds. Malika plaquait ses deux mains sur sa bouche grande ouverte, agitée de hoquets, s’est tournée pour vomir. Un des garçons s’était effondré comme la fillette, l’autre, fixait fasciné le sexe mutilé, les yeux brillants, la verge dressée. Lysia ne quittait pas des yeux les yeux noirs de la femme noire, une main posée sur la cuisse d’Ellinn qui s’était évanouie à nouveau. Les gardiens ont emmenée Elinn, une coupelle d’étain posée sur son ventre, deux voiles rose et le capuchon, un bouton et ...
... sa tige, deux tétons baignant dans un liquide translucide, trophées d’un supplice barbare. D’autres ont nettoyé la table, une odeur de jasmin flottait dans la salle. Sadar a examiné Lysia. Elle n’a pas crié en sentant son anus déchiré, les yeux fixés aux yeux de la femme noire, les dents et les poings serrés. — Intacte. — Intacte. Elle a caressé la joue de la fillette et l’a embrassée sur le front, lui a tenu la main jusqu’au bout de la table. Seule la femme l’a examinée. Le phallus d’ivoire lui a été épargné : — Intacte. — Intacte. Sadar rayonnait, un sourire aux lèvres, mains croisés sur son ventre énorme. Deux gardiens avaient emmenés la fillette hors de la pièce. — Malika, Lysia, vous êtes choisies, vous êtes odalisques de votre seigneur. Dame Alyse va donner un serviteur à chacune. Dame Alyse, lequel pour Malika, lequel pour Lysia ? — Maar pour Malika. Elle invitait au bout de la table celui des deux qui s’était évanoui pendant le supplice d’Ellinn. Le garçon semblait à Lysia à peine plus jeune qu’elle. Elle se souvenait de lui courant dans les collines et nageant dans le ruisseau au village, le regardait écartelé sur la table comme Ellinn plus tôt, le teint blafard et les lèvres tremblantes, un linge enfoncé entre ses lèvres, une peur immense, le désespoir dans ses yeux. Un linge blanc serré sur son ventre, d’autres autour de ses cuisses. Les gardiens l’ont baigné d’une eau à l’odeur piquante, ont posé un linge sur son nez. Il a fermé les yeux, endormi. — Malika, pose ta ...